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L’Inria, le bras armé de l’État pour la souveraineté numérique

Pour Bruno Sportisse, le PDG de l’Inria, «les cartes sont rebattues en permanence, et il faut absolument participer à ces batailles numériques». Inria / Photo Pierre Morel

L’institut national de recherche en informatique définit ses priorités: l’intelligence artificielle, la sécurité informatique et le quantique.

Bruno Sportisse, le PDG de l’Institut national de recherche en informatique et automatique (Inria), signe aujourd’hui avec ses ministères de tutelle (la Recherche et l’Économie) un contrat d’objectif et de performance jusqu’en 2023. Avec un budget de 240 millions d’euros, ses 2800 collaborateurs et ses neuf centres implantés sur tout le territoire, l’Inria développe des logiciels, des algorithmes, des boîtes à outils numériques et de l’intelligence artificielle. Il fait aujourd’hui autorité dans le monde de la recherche.

Mais, pour l’avenir, l’institut s’engage à sortir cette recherche des laboratoires pour créer des champions de l’économie digitale. «Avec ce contrat d’objectif et de performance, Inria assume d’être l’un des bras armés de l’État pour construire la souveraineté numérique. En partenariat avec la recherche académique et les industriels français, nous devons nous battre pour construire un leadership scientifique, technologique et industriel dans le numérique», explique Bruno…

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