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Espagne, Italie: ces autres «bacs» dans le flou

«Pour les pays qui, comme la France, sont très attachés aux épreuves écrites, le problème est le même. On a peur de créer des inégalités en supprimant ces épreuves», commente Éric Charbonnier, l’un des spécialistes éducation de l’OCDE. 203790493/ijeab - stock.adobe.com

Face à cette inquiétude généralisée, bienheureux sont les États où le contrôle continu régnait déjà en maître.

«Continuez à travailler autant que vous le pouvez depuis chez vous.» C’est le conseil donné par le porte-parole du gouvernement de Madrid aux élèves de terminale espagnols. La date butoir pour organiser les épreuves de la Selectividad, qui permet aux jeunes d’entrer à l’université, est repoussée d’un mois. De son côté, le Royaume-Uni a fait le choix du contrôle continu pour remplacer le General Certificate of Secondary Education (GCSE), qui sanctionne la fin du cycle secondaire et dont les résultats font office de critère de sélection dans les universités

Inquiétude généralisée

Malgré ces décisions prises dans l’urgence, l’incertitude n’est pas totalement levée. En Espagne, sept régions n’ont pas encore arrêté de nouvelles dates pour la Selectividad, de peur que l’évolution de la crise sanitaire ne les force à les repousser à nouveau. Au Royaume-Uni, les professeurs se demandent encore comment transposer les multiples notes obtenues au cours de l’année en une seule et même note allant de 1 à 9, qui correspond…

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