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L’agriculture urbaine bousculée par le coronavirus

Potager sur les toits, champignonnière dans les parkings ou jardin légumier au sein des Ehpad, l’agriculture urbaine subit de plein fouet les règles de confinement liées au coronavirus. 65571934/alisonhancock - stock.adobe.com

Face à la crise, de nombreux projets en cours d’achèvement ont été stoppés dans leur élan. Ceux en activité ont dû s’adapter.

Potager sur les toits, champignonnière dans les parkings ou jardin légumier au sein des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), l’agriculture urbaine, en plein essor, subit de plein fouet les règles de confinement liées au coronavirus. «Les professionnels de l’agriculture urbaine se retrouvent plutôt dans une situation fragile ou qui pourrait le devenir si la crise persiste cet été, note Anouck Barcat, présidente de l’Association française de l’agriculture urbaine professionnelle (Afaup), qui regroupe une grande partie des entreprises ou associations du secteur.

Elle vient de réaliser une enquête qualitative, dont Le Figaro s’est procuré une copie, pour savoir comment ses adhérents traversaient cette période compliquée. «Les structures les plus en difficultés sont celles qui ont dû stopper leurs activités, et surtout celles qui animent de nombreux ateliers de formation et des événements lors des périodes printanière et estivale», poursuit Anouck Barcat. C’est…

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