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Economie

Communes touristiques : le spectre d’une saison blanche

Publié le 21/04/2020 • Par Victoire Chevreul • dans : A la Une finances, Actu experts finances, France

Vacances au soleil
Fotolia
Avec le confinement, les municipalités de la côte et autres cités de montagne voient leurs premières recettes de l’année fondre à vue d’œil. L’été, période-clé, s’annonce très difficile. Tour d’horizon.

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L’impact du Coronavirus en France est sans appel. Depuis le début du confinement, la pandémie asphyxie commerces, restaurants, chaînes hôtelières et casinos. Elle conduit les communes à une inquiétude financière fondée sur la saison touristique qui aurait déjà dû commencer pour beaucoup en avril avec les vacances de printemps et en mars pour les villes thermales.

Pour certaines villes le scénario d’une saison estivale blanche se dessine et toutes les ressources sont dès à présent mobilisées pour éviter un cauchemar financier. Le tourisme représente à l’échelle du pays plus de 7 % du PIB.

Quid des plages de La Grande Motte ?

Entre les immeubles alvéolaires de Racine à la Grande Motte (Occitanie), le maire Stéphan Rossignol ne cache pas son inquiétude : « On ne sait pas si les plages vont ...

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Communes touristiques : le spectre d’une saison blanche

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HERMES

22/04/2020 11h52

Je ne partage pas le point de vue à maintes fois rappelé dans ce texte.
Il n’y a rien de flou de la part de l’Etat qui, comme tout le monde, n’avait pas envisagé de scénario pour une pandémie!

Qui peut l’en blâmer? Ceux qui comme lui ne l’ont pas envisagé?

Le temps n’est pas venu de chercher des coupables. D’ailleurs, cela a-t-il un sens? Il me semble qu’au contraire, il faut prendre en compte les expériences de tous pour trouver LA solution pour l’avenir. Il faut arrêter les querelles de clocher, mettre un terme aux différents lobbies qui ne prennent en compte que leur propre intérêt, sans tenir compte de l’intérêt général.

Je lis dans ce document que certains se tournent vers l’Etat pour lui demander d’abonder les crédits versés. C’est bien la preuve que si tout le monde est d’accord pour dire que le monde d’après ne sera pas identique à celui d’avant, il ne sera pas concerné (NIMBY au secours).
C’est oublier un peu vite que l’Etat c’est chacun de nous. C’est oublier que les dépenses de l’Etat (y compris celles des collectivités) sont à payer par le citoyen. Il n’y a personne au-dessus pour s’acquitter de ces dettes.

Clairement, il faudra définir des priorités auxquelles les crédits nécessaires seront affectés. Je sais, ce n’est pas drôle car tout ne pourra pas être fait comme le veulent les élus mais aussi le citoyen.
L’heure des choix (de société) va apparaitre sous peu et cette fois, si nous nous dérobons comme nous l’avons fait jusqu’à présent, l’avenir de nos enfants sera derrière nous!

Pour ma part, je suis favorable à la participation financière de tous à la reconstruction de notre société, suivant la capacité contributive de chacun. Pourquoi ne pas imaginer que chaque citoyen consacre au minimum le prix d’un paquet de cigarettes pour réduire la dette de l’Etat?
Bien sûr, le montant consacré par les moins démunis serait plus important et proportionnel à leurs recettes.
Quant à la durée de cette contribution qui s’inscrit dans une logique d’effort de guerre, elle serait sur toute la période de la pandémie.
Mais n’oublions pas que cette contribution n’a de sens que si on met un terme à toutes nos habitudes. Il faut donc réinventer notre mode de gouvernance, sinon, cet effort ne servira à rien, sauf à maintenir les privilèges des uns et des autres chacun dans leur domaine.

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