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Une reprise en seconde pour le car, le covoiturage et les loueurs

En avril, le leader du covoiturage, BlaBlaCar a réalisé, moins de 5% de son chiffre d’affaires habituel. PHILIPPE LOPEZ/AFP

Les cars Macron sont l’activité la plus lente à redémarrer, tandis que l’autopartage tire son épingle du jeu.

Cette semaine, les loueurs de voitures, les rois de l’autopartage ou les opérateurs de cars Macron ont à nouveau fait vrombir leur moteur. C’est qu’avec la levée de l’interdiction des déplacements de plus de 100 km effective, leur horizon s’est dégagé depuis le 2 juin. «On pense, en plus, profiter de la désaffection pour le train dans cette période de fin d’épidémie», estime Paulin Dementhon, directeur général de Getaround Europe (ex-Drivy), une start-up d’autopartage.

En tout cas, il y a urgence à relancer l’activité car le secteur a payé un lourd tribut à la crise sanitaire en France. En avril, le leader du covoiturage, BlaBlaCar a réalisé, moins de 5% de son chiffre d’affaires habituel. Et le loueur de voitures Avis a vu son activité chuter de 90 %. Flixbus, la marque de cars longue distance, a suspendu son activité depuis mi-mars. Aujourd’hui, tous veulent tourner la page.

Le loueur de voitures Europcar, qui avait fermé la majorité de ses 250 agences en propre dans l’Hexagone, les rouvre…

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