Selon la plateforme Etalab de la direction interministérielle du gouvernement, la France se classe au 2e rang mondial de l'open data. Elle se base, pour cela, sur des rapports de la Commission européenne et de l'OCDE. Explications.
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Selon un article publié sur le site d’Etalab, et qui s’appuie sur des études de l’OCDE et de la Commission européenne, la France fait figure de (très) bon élève en matière d’open data. Les derniers rapports de l’OURdata Index, de l’OCDE et l’Open data Maturity report, de la Commission européenne, permettent ainsi d’établir que, pour cette année, la France est sur le podium des nations qui rendent le plus accessible ses données publiques.
Le premier indice, en particulier, agrège trois critères spécifiques : les jeux de données disponibles, l’accessibilité de celles-ci (et notamment leur qualité), et le promotion de l’open data au niveau national. C’est ainsi que la France, avec l’indice 0,9, se classe juste derrière la Corée du Sud grâce, notamment, à la loi pour une République numérique, souvent mise en avant dans les rapports.
Pour expliquer ces bons résultats, les auteurs de ces études soulignent aussi le grand travail de formation mise en place en France et l’implication de tous les acteurs publics : administrations, collectivités territoriales qui savent se coordonner pour faciliter l’accès aux données publiques.
Et pour aller encore plus loin, l’article d’Etalab précise que la direction interministérielle du numérique propose des accompagnements juridiques, pour la circulation et l’exploitation des données aux administrations.