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Enseignement catholique: mécontents, certains parents réclament une ristourne

Des enfants de l’Institut Sainte-Geneviève, à Paris, attendent de pouvoir rentrer dans leur établissement scolaire, le 12 mai. PHILIPPE LOPEZ/AFP

Leur «contribution», plus élevée dans les grandes villes, oscille en moyenne entre 440 et 1 130 euros par an.

«Quel intérêt de payer 100 euros par mois pour une prestation éducative strictement équivalente à celle du public? Des cours envoyés par mail et quelques vidéos… Et pendant trois mois, le lycée a économisé du chauffage, de l’eau, de l’électricité, le nettoyage, etc.», s’insurge cette mère d’un élève scolarisé dans un lycée catholique d’Angoulême, qui aurait apprécié, «vu les circonstances, que l’enseignement catholique fasse un geste financier». Hors cantine et études, plus chères que dans le public car moins subventionnées par les collectivités locales, les parents de l’enseignement catholique payent une «contribution» moyenne annuelle d’un montant moyen de 440 à 1 130 euros.

Cette «contribution», plus élevée dans les grandes villes, couvre pour l’essentiel l’entretien et l’amortissement des bâtiments scolaires et administratifs, l’acquisition du matériel d’équipement scientifique, scolaire ou sportif et les grosses réparations des bâtiments. Elle finance aussi la pastorale. Les enseignants…

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17 commentaires
  • Angkor Vat

    le

    Il y aura toujours le consommateur lambda qui prétend avoir le droit de.... Le genre du type pénible qui pourrit la vie des autres.

  • carol

    le

    Pas de kermesse fin juin! Un sacré coup pour le budget !

  • Scott75

    le

    Elle retourne dans le public, c’est gratuit .,, bien sûr risque de médiocrité et de prof absent et incompétent .., mais bon gratuit ...
    C’est sur aussi risque que 2 élèves mettent le bordel dans classe toute l’année .... mais bon service public ne veut pas dire qualité ..,

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