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Le sort des étudiants les plus précaires en suspens

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Crédit photo Jean-Pierre Bazard
La levée de la trêve hivernale, le 10 juillet, pourrait aggraver la situation des étudiants les plus précaires. Une expulsion de leur logement les conduirait « de facto » à stopper leurs études. S’il ne s’agit que d’une minorité de la population étudiante, plusieurs associations se mobilisent.

L’association Droit au logement (Dal) et plusieurs collectifs universitaires de Lille, Nanterre, Toulouse, Lyon, Aix-en-Provence ou Paris s’unissent et se mobilisent autour des étudiants en situation de précarité. Alors que des actions de soutien sont menées sans grand succès, leurs craintes se portent désormais sur les expulsions qui pourraient avoir lieu après le 10 juillet, date de fin de la trêve hivernale, en raison des loyers impayés. « Beaucoup ont perdu le petit job leur permettant de payer études, loyer, alimentation et déplacements », explique un communiqué des collectifs étudiants et du DAL.

Ses signataires demandent l’exonération…
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