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Lors de sa dernière grand-messe de rentrée, Jean-Michel Blanquer avait prévenu : « À l'Éducation nationale, nous sommes un peuple de colibris, pas du tout un mammouth. » Lancée le 27 août 2019 dans l'« atmosphère champêtre » du jardin de la Rue de Grenelle, devant un platane multiséculaire, à deux pas des bambous « plantés par Jack Lang », la formule n'est pas seulement destinée à filer la métaphore du nouvel engagement écologique développé au sein des écoles. Depuis que la promesse de son lointain prédécesseur, Claude Allègre, de « dégraisser le mammouth » a fait de l'Éducation nationale l'emblème des pesanteurs administratives de l'État, Jean-Michel Blanquer s'évertue, comme tant d'autres avant lui, à casser l'image du mastodonte immuable qui colle à la peau du ministère.
« L'idée d'u...
illustration Tartrais pour « Le Point »
Il y aurait des RH dans l'EN ? 25ans sans en voir le bout de la queue d'un... Je m'étonne !
@johnpauljones a tout dit sur l'EN... Des inspecteurs inexistants et invisibles, souvent carriéristes, des chefs d'établissement qui ne connaissent pas le travail d'enseignement, des syndicats bornés et caricaturaux...
Les enseignants qui font leur travail sont heureusement majoritaires, mais bien peu soutenus et bien peu encadrés.
Un enseignement de masse dont on sort complètement "marteau"...
Je me fais censurer pour la deuxième fois sur le même commentaire où j'affirme que j'ai entendu des bêtises à l'EN et que chacun professe ce qu'il veut avec sa "liberté pédagogique".
Il est établi que ces dernières années ont été régies par des politiques préjudiciables au pays, ce que je n'ai cessé de dénoncer, alors que d'autres prétendaient la normalité.
de plus, jury d'examen, mes premières interventions étaient de corriger les corrigés et les corrigés officiels sur les BDD de l'EN, annotés au crayon, montraient que la plupart des corriges étaient faux.
Enfin, aux oraux, mes collègues me laissaient toute latitude pour interroger les candidats.
Les corrigés produits sont faux, je les corrige, les correcteurs n'ont pas les compétences pour mener les oraux, et je reçois 168€ de dédommagement pour ma prestation (une semaine de travail et indemnités comprises) 18 mois plus tard, et sans feuille de paye.
Citez-moi une boite de m où j'aurais été traité de cette manière.