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Administrateurs - Conservateurs - Ingénieurs

La haute fonction publique plaide pour plus de souplesse et d’écoute par les politiques

Publié le 11/09/2020 • Par Claire Boulland • dans : A la Une RH, Dossiers d'actualité, France, Toute l'actu RH

De l'écoute
Onlineman.com / Adobestock
Alors que devait être présentée la réforme de la haute fonction publique, la crise sanitaire a révélé d’autres priorités que celles énoncées dans le rapport "Thiriez". Des territoriaux en dressent la liste.

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Les territoriaux imaginent le monde d'après

LES TERRITORIAUX IMAGINENT LE MONDE D’APRÈS. Urbanisme, changement climatique, finances, fonction publique, management, mobilité, numérique… A quoi doit ressembler le monde post-Covid-19 dans les territoires ? « La Gazette » donne la parole à ses lecteurs en recueillant leur expertise pour mieux construire l’avenir.
Refonder le recrutement, la formation et la gestion des carrières dans la haute fonction publique, pour qu’elle « ressemble à la société », ambitionnait le Président en avril 2019. C’était l’objet de la réforme qui aurait dû être présentée ce printemps. Une crise sanitaire et un remaniement plus tard, le plan est entre les mains de la ministre de la Transformation et de la fonction publiques, Amélie de Montchalin. Et elle le veut en vigueur d’ici à 2022. Il dira si cette période trouble a fait émerger un nouveau diagnostic et rebattu les cartes. Nombre d’acteurs l’espèrent. Car, si la grande majorité des recommandations de la mission de Frédéric Thiriez, qui a remis ses propositions en février, faisait consensus sur la promotion de la parité, les classes préparatoires et la recherche d’une meilleure diversité des profils, d’autres ont interloqué.

Des aberrations dénoncées

C’est le cas de la création d’un tronc commun d’enseignements à sept écoles de la haute fonction publique, dont l’Institut national des études territoriales (Inet), pour « créer une culture partagée ». « Aberration » dénoncée par le président du CNFPT : ce tronc commun ne concernerait que les administrateurs territoriaux ...

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Les territoriaux imaginent le monde d'après

Sommaire du dossier

  1. Un chemin pour le monde d’après
  2. La ville du quart d’heure à la recherche du temps perdu
  3. « Les DGS du XXIè siècle doivent être transgressifs »
  4. Quel temps d’accès moyen aux équipements et aux commerces dans les grandes villes ?
  5. Péréquation : une réforme attendue pour calmer le jeu
  6. Le manifeste de l’ADT-INET pour réussir la transition territoriale
  7. Vers un nouveau contrat social et environnemental
  8. Forte de ses atouts, la ruralité fait campagne
  9. Ces collectivités qui disent non au retour en force de la voiture
  10. Des acheteurs réalistes pour la commande publique de demain
  11. Ces acteurs locaux qui prônent un choc de décentralisation
  12. « C’est la continuité des services qui nous mobilise, plutôt que l’idée du monde d’après »
  13. Le numérique éducatif revient sur le devant de la scène pour lutter contre les inégalités
  14. Et si le changement climatique était enfin pris au sérieux ?
  15. La démocratie participative voit plus grand
  16. Les juristes territoriaux rêvent d’un autre monde
  17. Chargé de mission « résilience » : anticiper les chocs, capter les signaux faibles, c’est son métier
  18. Le numérique, un impératif pour absolument tous les agents
  19. Tourner la page du confinement, mais en gardant le meilleur
  20. La haute fonction publique plaide pour plus de souplesse et d’écoute par les politiques
  21. Les plateformes de mise en relation au secours des circuits courts alimentaires
  22. Si les juristes territoriaux avaient carte blanche, que changeraient-ils ?
  23. Un numérique accessible à tous et respectueux de l’environnement, bientôt labellisé
  24. Travail social : l’« aller vers » prime dans la relation à l’usager
  25. Le plan communal de sauvegarde, le couteau suisse anticrises
  26. La santé, fil rouge du plan local d’urbanisme
  27. Vertes, locales, jeunes… les musées se tournent vers des expositions new-look
  28. Quand un agrégateur de contenus devient vecteur de lien culturel
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Commentaires

La haute fonction publique plaide pour plus de souplesse et d’écoute par les politiques

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HERMES

14/09/2020 09h27

Un très bel article qui montre encore une fois que l’analyse des différents niveaux s’inscrit dans une démarche corporatiste!

Il existe un adage affirmant que pour savoir comment fonctionne une structure, il ne faut pas demander au directeur… mais à la femme de ménage.
Je partage ce point de vue. On oublie trop souvent que pour faire fonctionner le système il faut plus de petites mains que de grands cerveaux.

Enfin, je dis assez souvent que la fonction publique singe de plus en plus souvent le privé. On le voit bien avec les modes de gestion qui reprennent certains points (le plus souvent les plus négatifs) de ce qui se fait dans le privé. Mais pour les points « positifs » tels qu’ils existent dans le privé, circulez, il n’y a rien à voir!

Ne voit-on pas enfin de plus en plus d’agents de catégorie B (voire C dans certains cas) exercer des fonctions d’encadrement?
Mais au fait, ces principes ne sont-ils pas validés par les élus in fine?

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