TGV, trains régionaux: la SNCF défiée par ses rivaux
Plusieurs opérateurs européens veulent profiter de l’ouverture du marché français à la concurrence.
Voilà au moins un sujet sur lequel la pandémie n’a pas d’impact majeur. Exigée par Bruxelles, l’ouverture à la concurrence sur le rail en France, mise en musique par la loi du 27 juin 2018 pour un nouveau pacte ferroviaire, va se faire selon le rythme prévu. «La volonté politique n’a pas changé, affirme Franck Tuffereau, délégué général de l’Afra (Association française du rail). La crise sanitaire a juste fait perdre quelques semaines.»
La bataille va commencer sur le TGV, où la SNCF a perdu son monopole cette année. Deux groupes étrangers vont venir défier la vieille dame ferroviaire tricolore. D’abord, Thello, la filiale de l’opérateur historique italien, Trenitalia. Le transalpin compte proposer deux allers-retours quotidiens Milan-Lyon-Paris. Initialement, il voulait lancer son service en juin. L’habilitation du matériel roulant ayant pris du retard à cause du confinement, ce sera un peu plus tard. «En décembre 2020 ou plus probablement en juin 2021», estime un connaisseur du dossier
dre74@laposte.net
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La nationalisation est un pied de nez à la bourgeoisie, nos amis les cheminots tenez bon, la CGT est avec vous
dre74@laposte.net
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La concurrence, la privatisation, c'est la compétition entre les salariés, pour les faire bosser pour un salaire de misère, et enrichir d'une façon indécente les profiteurs de la misère, cette pègre sans foi ni loi ni patrie.
L'humain doit passer avant l'argent, et le régime du totalitarisme de l'argent, la pire dictature qui existe.
Anastasie=anesthésie
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Tant que le statut des cheminots français sera payé par mes impôts, je prendrai la concurrence autant que faire se peut.