Publicité: les annonceurs ont tiré les leçons du premier confinement
La deuxième vague n’occasionne pas d’arrêts brutaux de campagnes. Les leviers digitaux s’imposent.
Dire que le marché publicitaire va mieux serait aller un peu vite en besogne. Il reste convalescent, toujours traumatisé par un deuxième trimestre calamiteux et une reprise en dents de scie depuis l’été. Mais après l’expérience chaotique du premier confinement, les annonceurs français se montrent plus rationnels lors du deuxième, rapportent unanimement les professionnels. Depuis une semaine, il n’y a pas d’effet de panique comme en mars. «Jusque-là, c’est très différent, observe Mathieu Morgensztern, country manager de WPP (GroupM) en France. Nous sommes entrés dans une logique raisonnée. Les réductions de voilure concernent les annonceurs impactés directement par la fermeture de leurs points de vente. Pour les autres, la grande différence avec mars-avril, c’est que cette fois il faut réussir Noël. L’enjeu est de ne pas perdre de parts de marché.»
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Alors que des secteurs entiers connus pour être de gros annonceurs, comme l’automobile, les transports ou le voyage étaient à l’arrêt entre mars…
raleur
le
cela fait 5 ans que je n'ais pas vu de pubs sur ma télé et je n'ais pas encore netflix, je m'en porte très bien,cool de ne plus etre lobotomisé par des pubs débiles,jouées par les plans cul ou famille des réalisateurs ,très facile le boycot en fait
Anonyme
le
pour mettre au moins un(e) noir(e) dans chaque spot ? (ce qui fait qu'ils sont sur-représentés par rapport à leur poids réel dans la population.)
Etrange égalité !
gcja
le
Raz le bol de la publicité. Trop c'est Trop, çà devient insupportable.