«Sécurité globale»: l’avenir de la police municipale en débat à l’Assemblée nationale
La Ville de Paris, qui, avec ce texte, pourrait avoir la sienne, refuse toutefois d’armer ses futurs agents.
Après des tensions dans la rue et dans l’Hémicycle suscitées mardi par un article réglementant la diffusion d’images des forces de l’ordre, les débats ont repris ce mercredi à l’Assemblée nationale. Examinant la proposition de loi sécurité globale, les députés se sont penchés sur des dispositions donnant davantage de prérogatives aux polices municipales de plus de vingt agents.
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Selon le texte soumis au vote, ces dernières pourraient voir leur champ d’intervention élargi dans le cadre d’une expérimentation de trois ans. Concrètement, les policiers municipaux pourraient participer à la sécurisation de manifestations sportives, récréatives ou culturelles. Ils pourraient également constater davantage d’infractions comme l’ivresse publique, la vente à la sauvette, la conduite sans permis.
Une promesse de campagne
Un texte doit être également débattu qui permettra, s’il est retenu, à Anne Hidalgo de concrétiser une promesse de campagne. Celle de créer une police municipale à Paris. Après s’y être opposée avec vigueur durant…
2977732 (profil non modéré)
le
Il faut refuser d'être policier municipal à Paris.
C'est les envoyer à la mort.
Guérétois
le
La police est une mission régalienne et doit le rester.
jack cuze
le
c'était l'autre "a.bruti de Chevénement qui avait pris la décision de désarmer la police municipale....!!!! heureusement qu'il sont là pour faire le boulot que la nationale ne veut pas faire....