L’agriculture urbaine dynamisée par la crise sanitaire
FIGARO DEMAIN - Les porteurs de projets, encouragés par des citoyens davantage soucieux de l’environnement, sont nombreux.
Réhabiliter un parking pour y faire pousser des champignons, végétaliser les toits d’entrepôts pour faire du maraîchage, débroussailler une friche industrielle pour y élever des moutons… Après avoir été stoppés au printemps dernier lors du premier confinement, les projets d’agriculture urbaine sont repartis de plus belle. La crise sanitaire a suscité une demande croissante des consommateurs pour des produits frais et locaux. «Nous recevons beaucoup de demandes d’adhésion de la part de nouveaux porteurs de projets, ce qui montre le dynamisme du secteur», constate Anouck Barcat, présidente de l’Association française de l’agriculture urbaine professionnelle (Afaup). Cette organisation compte actuellement 85 entreprises ou associations dans toute la France qui emploient 600 personnes. «Malgré le confinement, plus d’une centaine de porteurs de projets ont participé au salon que nous avons coorganisé en Mayenne au début de l’automne sur le thème de l’aquaponie et de l’hydroponie», poursuit Anouck…
Lacombe Lucien
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bravo à ces initiatives ! Des gens qui se prennent en mains au lieu de gémir, et qui apprennent sur le tas, la meilleure expérience qui soit.
melou78
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ah voila! finalement le poste d'adjointe à l'agriculture d'Audrey Pulvar prend du sens, de loin!
FEG
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Avant de cultiver un sol en zone urbaine qui a pu dans le passé être occupé par une industrie, il faut faire une analyse de terre pour vérifier qu'il n'est pas pollué par des métaux lourds ou divers produits chimiques.