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La crise va bouleverser le recrutement des jeunes

Les postes évoluant rapidement, l’employeur doit tout à la fois savoir dénicher le potentiel capable de s’adapter aux mutations, non plus le candidat idéal et réservé à une seule entreprise. 208911321/Drobot Dean - stock.adobe.com

INFO LE FIGARO - Un rapport fouillé analyse les tendances et les évolutions du marché du travail à l’horizon 2030.

On l’a vu depuis un an, la crise a profondément modifié le recrutement des jeunes diplômés dans le secteur privé. Et elle devrait continuer à le faire. Pour tenter de mesurer le bouleversement en cours, PageGroup, le Lab RH et Job Teaser ont mené une enquête, que Le Figaro a pu consulter, auprès de 11.000 étudiants et jeunes diplômés européens et d’une cinquantaine de DRH. Les résultats sont étonnants.

Premier enseignement: les employeurs vont devoir apprendre à accueillir en entreprise une génération, déjà préoccupée par des questions écologiques et sociétales, qui se trouve percutée de plein fouet par la pandémie au moment où elle démarre sa vie professionnelle. «Des entreprises continuent à embaucher sur le CV, le diplôme, les stages, c’est-à-dire dans une certaine linéarité, or elles peuvent mettre une partie des jeunes en difficulté si elles ne changent pas leur approche», observe Marlène Ribeiro, directrice exécutive de PageGroup.

Un jeune sur deux quitte son poste avant un an

Certaines tendances ont été amorcées avant que la pandémie…

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17 commentaires
  • anonyme

    le

    Merci pour cet article plein de bon sens ! ?? L’alternative au recrutement sur le CV, les diplômes et les stages consiste à passer au recrutement sur le potentiel, notamment en prenant en compte les capacités cognitives, les moteurs et les soft-skills des candidat.e.s. En fait... ça tombe sous le sens ! Le problème, c’est que sans approche “systématisée”, cela reste souvent plus un truc “sympa dans le concept” qu’une approche réellement déployée par les entreprises et les cabinets pour changer le status-quo. Certaines solutions comme AssessFirst par exemple permettent d’automatiser une partie de la sélection sur ces critères (potentiel réel des candidat.e.s) pour éviter que le premier “filtre” reste encore et toujours celui du CV (dont on sait aujourd’hui qu’il est peu prédictif de la réussite pro ultérieure). Charge aux entreprises et aux cabinets maintenant de faire évoluer leurs pratiques !

  • yohan deda

    le

    En revanche, on recrute beaucoup de chouffeurs et de delaers dans les quartiers. Cherchez l'erreur

  • Équité

    le

    Du pain bénit tout ces smicards ingénieurs, merci la droite

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