Publicité
Réservé aux abonnés

Comment Jean-Michel Blanquer est passé entre les gouttes d’un confinement

Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale. GONZALO FUENTES/REUTERS

DÉCRYPTAGE - Jean Castex assure aujourd’hui que les écoles, si cela doit à nouveau se produire, «fermeront en dernier».

Jean-Michel Blanquer serait-il devenu la nouvelle star des anticonfinement? Porté aux nues par ces derniers, détesté par les proconfinement, le ministre a imposé son tempo, la semaine dernière, en réussissant à maintenir les écoles ouvertes. À moins que ce ne soit un peu plus compliqué: réclamer une fermeture apparaîtrait comme un non-sens pour un ministre de l’Éducation nationale. D’un point de vue pédagogique et psychologique, l’intérêt des enfants et des adolescents est le maintien de l’ouverture. À moins de 17 ans, un enseignement «à distance» ne peut être qu’un pis-aller, même si certaines familles s’en sont bien sorties au printemps.

Les inégalités scolaires engendrées lors du premier confinement sont apparues de façon éclatante lors de tests réalisés en septembre. Jean-Michel Blanquer n’a eu de cesse de dire et de redire depuis ce printemps que les enfants étaient dans un lieu aussi sûr que possible lorsqu’ils se rendaient dans leur établissement scolaire. S’il a beaucoup œuvré pour…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 75% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

Déjà abonné ? Connectez-vous

Comment Jean-Michel Blanquer est passé entre les gouttes d’un confinement

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner
17 commentaires
  • Anonyme

    le

    tous les enfants se tripotent , se frôlent , se collent les uns aux autres toute la journée, puis rapportent à la maison avec les virus qu'ils ont récolté à l'école`
    Il ne faut pas le dire ? Zut alors.

  • L.-F. Céline

    le

    Je suis enseignant. Je suis pour que les écoles restent ouvertes mais je ne supporte plus les mensonges du ministre: affirmer qu'"on a plus de chance d'être contaminé en dehors de l'école qu'à l'école" est une phrase qui fait s'esclaffer les médecins que je connais.

À lire aussi