Depuis quelques jours, la colère gronde chez les élus, au fur et à mesure que sont dévoilées les ouvertures et fermetures de classes du premier degré à la rentrée 2021. Car les premières ne compensent pas toujours les secondes. Comme chaque année en février, au gré de la tenue des Conseils départementaux de l’Education nationale (CDEN), qui annoncent la carte scolaire pour la rentrée suivante, parents, syndicats et élus manifestent leur mécontentement. Pétitions, manifestations, lettres au ministre de l’éducation nationale…
Cette année, toutefois, la pression est particulièrement forte sur le terrain. Pourtant, malgré la baisse démographique attendue (56 000 élèves de moins en 2021), qui correspondrait à 5 800 emplois en moins, 2 489 postes d’enseignement seront créés. Le ministère de ...
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Gazette des Communes, Club Éducation et vie scolaire
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