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SOCIAL

Une mission sénatoriale questionne l’explosion de la pauvreté

Publié le 17/02/2021 • Par Emeline Le Naour • dans : Actu expert santé social, France

PLFSS 2023 : le projet de loi modifié a été adopté par le Sénat
senat.fr
Lancée par Les Républicains à la fin du mois de janvier, une mission composée de 23 sénateurs s’interroge sur la vague de paupérisation des Français largement accentuée par la crise sanitaire. Ils rendront leurs conclusions d'ici fin juin.

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Augmentation des bénéficiaires du RSA, accroissement du taux d’endettement des ménages les plus pauvres, recours massif aux banques alimentaires, taux de chômage en hausse chez les 18-29 ans… Ces derniers mois, les indicateurs montrant une paupérisation d’une partie des Français virent au rouge.

Pour comprendre l’ampleur du phénomène, dont les données fiables manquent encore, un groupe de sénateurs a lancé fin janvier, à l’initiative du groupe Les Républicains, une mission sénatoriale d’information « sur l’évolution et la lutte contre la précarisation et la paupérisation d’une partie des Français ». Composée de 23 sénateurs issus des différents groupes politiques, elle est présidée par la sénatrice costarmoricaine Annie Le Houerou (Socialiste, Écologiste et ...

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Une mission sénatoriale questionne l’explosion de la pauvreté

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HERMES

18/02/2021 09h17

Chaque fois je suis effaré par la nécessité des élus de mettre en place une étude pour constater un phénomène que le reste de la population connait depuis fort longtemps!
Cette nouvelle étude n’en est qu’une démonstration parmi d’autres.

Il serait temps que nos chers élus (chers au sens large) remettent les pieds sur la Terre. Qui sait, l’une des solutions ne serait-elle pas de mettre en cause leur régime indemnitaire ainsi que les remboursements de leurs frais, ainsi que les autres menus (très nombreux) avantages dont ils disposent.
N’oublions pas enfin que ces « avantages » sont pour partie maintenus après la fin de leur mandat national.

Le cas de M. Bayrou qui affirme que 4.000 € mensuels c’est la classe moyenne et qui juste après se reprend en disant que c’est pour deux personnes en dit long. Très certainement que cet amendement lui a été soufflé par l’un de ses collaborateurs.
Enfin, je crois qu’il a également dit que 2.600 € mensuels correspondaient à la moyenne des retraites de l’enseignement… J’en suis fort étonné quand je calcule le montant de la mienne alors que je suis à l’indice terminal de mon grade (bien plus élevé que celui de la moyenne des dites personnes) et que ma retraite ne sera que légèrement plus élevée.
Qui sait, peut-être aurons nous droit à un nouveau démenti!

Après tout cela, les élus se demandent encore pourquoi le vulgum pecus ne va pas voter. Si mes souvenirs sont exacts, 1789 répondait à un besoin d’équité entre les nobles, le clergé et la classe qu’aujourd’hui on appellerait supérieure (si je me trompe, je suis preneur de la vérité).

Ma crainte est qu’un jour, quand une grande partie de la population n’aura plus rien à perdre, le Peuple décide alors de renouveler cette mesure dont les conséquences sont incalculables. Je ne le souhaite pas!
Mais si on ne veut pas s’en rapprocher, il faut que nos élus prennent leurs responsabilités notamment en s’agitant avec des propos qui favorisent l’émergence des extrêmes.

On le voit bien aujourd’hui avec l’appel à la mise en place de la proportionnelle pour l’élection des députés. Là encore, avec une présentation plus que louable, l’objectif final est de faire en sorte que les « petits » partis puissent avoir une représentation en leur nom à l’Assemblée nationale et qui sait, peut-être que les subventions de l’Etat qui en découlent sont espérées et attendues.
Soyons clairs, la proportionnelle sur les bases actuelles est un leurre. Le Peuple n’ira pas plus voter par cette mesure.
Par contre, si cette mesure s’inscrit dans une démarche plus vaste responsabilisant les élus vis à vis de Peuple qui les a porté à ces fonctions et que les moyens pour les exercer auxquels ces derniers auront droit sont plus mesurés, le Peuple reviendra vers les urnes. Mais en corolaire de ce propos il y a la logique de ne plus faire de la politique polititienne (les élus français sont sur le podium) mais de gérer comme il se doit pour le bien du Peuple.

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