Comment l’immobilier entre dans une nouvelle ère

Sur le Vieux-Port, à Marseille.

Sur le Vieux-Port, à Marseille. ​JORDAN BANKS/ROBERTHARDING/AFP

En ces temps de pandémie, la pierre reste une valeur refuge forte pour les Français. Mais la double crise sanitaire et économique a profondément modifié les contours du marché.

Un an tout juste après le début de la crise sanitaire, l’immobilier tient plus que jamais une place majeure dans les projets d’avenir des Français. Mais le paysage a profondément changé. Jusqu’à faire entrer le marché dans une nouvelle ère. Le premier confinement avait frappé un secteur en surchauffe, que les deux mois de stupeur et de paralysie n’avaient pas calmé, bien au contraire : la frénésie avait vite repris son cours d’avant. Sauf que ce mouvement toujours plus à la hausse a fini par s’enrayer avec la rentrée de septembre, le retour du virus puis le deuxième confinement. Les acheteurs ont commencé à réfléchir davantage au prix. A ce qu’ils attendent, aussi, d’un logement. L’activité a fini par ralentir, dessinant une année 2020 en deux temps : fort, très fort, puis calme, plus calme.

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Toutefois, les plus pessimistes ont quand même eu tort : 2020 s’est conclue avec plus de 1 million de ventes en France, selon le spécialiste du marché MeilleursAgents.com, une des meilleures années jamais enregistrées. Tout cela malgré un marché moins dynamique dans les villes les plus chères. Malgré, aussi, des prix (encore plus) élevés, qui ont progressé en moyenne de 2 % à 5 % sur l’année dans la plupart des grandes métropoles. Une hausse qu’…

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