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En pleine tourmente, les parcs d’attractions redoutent une crise durable

Disneyland Paris, qui avait prévu de rouvrir le 2 avril, a reporté sine die le lancement de sa saison en raison de la pandémie. CHARLES PLATIAU/REUTERS

Les exploitants décalent ou annulent les investissements. Or, les nouveautés attirent les visiteurs.

À cause du Covid-19, les fans de Mickey devront attendre. Disneyland Paris, qui comptait rouvrir le 2 avril, a reporté sine die le début de la saison. Idem pour le Parc Astérix. Le Puy du Fou maintient la date du 17 avril, sans certitude. Fermés depuis octobre, les parcs d’attractions se désespèrent. «Nous demandons au gouvernement de nous faire confiance, insiste Dominique Marcel, PDG de la Compagnie des Alpes, qui possède treize parcs, dont le Futuroscope et le Parc Astérix. Cet été, il n’y a eu aucun cluster dans nos parcs. Nous sommes prêts à affronter des contrôles.»

Le Syndicat national des espaces de loisirs, d’attractions et culturels (Snelac) demande que les parcs soient parmi les premiers à rouvrir, au plus tard début mai, avec des jauges économiquement viables. «Près de 8000 personnes vivent du Puy du Fou et plus de 5000 fournisseurs, dont certains sont en train de mettre la clé sous la porte, alerte Nicolas de Villiers, président du Puy du Fou. Tant que nous n’avons pas l’autorisation…

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1 commentaire
  • mistophore

    le

    Donc Macron déteste aussi les enfants ce que l'on savait déjà , mais une confirmation de temps en temps est toujours instructive.

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