Une étude de Mazars conclut à la nécessité de séparer les activités d'audit et de conseil Contenu réservé aux abonnés
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Au moment où Londres annonce vouloir casser la domination des « Big Four » de l'audit, une étude de Mazars démontre que les entreprises souhaitent que les cabinets séparent leurs activités d'audit et de conseils afin de mieux élargir les missions des auditeurs à d'autres domaines.
Par Delphine Iweins
Et si la séparation entre l'audit et le conseil devenait réalité ? C'est en tout cas la volonté de Londres qui a dévoilé le 18 mars dernier un vaste projet de réforme du secteur de l'audit. En France, la récente affaire William Saurin dans laquelle Mazars a été condamné en première instance par le Haut conseil du commissariat aux comptes (H3C) à une amende de 400.000 euros et PwC à 50.000 euros pour insuffisance grave et manque de rigueur dans la conduite de leur audit, a relancé le débat vieux d'une vingtaine d'années. Et la demande pourrait, cette fois, venir des clients eux-mêmes.
Des audits conjoints nécessaires
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