Publicité
Réservé aux abonnés

À Polytechnique, un concours d’élite presque ordinaire

Parmi les candidats inscrits au concours, 15 % ne se sont finalement pas présentés. Jeremy Barande/Jeremy Barande

REPORTAGE - Lors des épreuves communes à trois prestigieuses grandes écoles, le Covid-19 était le cadet des soucis des candidats.

«Il vous reste cinq minutes. N’oubliez pas de numéroter vos copies», indique au micro la voix d’un surveillant en uniforme militaire. Les 350 candidats qui composent, ce jeudi 15 avril, dans l’un des trois gymnases de l’École polytechnique, procèdent calmement aux derniers ajustements.

Sur leurs tables numérotées, séparées d’un mètre cinquante «nez à nez», des stylos, des compas, du chocolat, des bouteilles d’eau et de jus de fruits. Cela fait près de six heures qu’ils planchent sur une épreuve de mathématiques. Derrière leurs masques. «Posez vos stylos», reprend la voix. Protocole sanitaire oblige, c’est progressivement, par rangées, que ces candidats au concours commun à l’X, aux écoles normales supérieures (ENS) et à l’École de physique et de chimie de Paris (ESPCI), se dirigent progressivement vers la sortie. Le marathon des épreuves d’accès aux écoles d’ingénieur a commencé le lundi 12 avril, avec ce premier concours, qui permet d’intégrer les plus prestigieuses.

Comme chaque année…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 81% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

Déjà abonné ? Connectez-vous

À Polytechnique, un concours d’élite presque ordinaire

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner
127 commentaires
  • bramante

    le

    heureusement il a encore des pans de l'enseignement supérieur de qualité qui tiennent encore debout !!!!!

  • bramante

    le

    heureusement il y a encore des pans de l'enseignement supérieur de qualité qui tiennent encore debout !!!!!

  • bêhbêh

    le

    moi ce qui me bottait c était les imaginaires surtout les " purs "

À lire aussi

Toulouse : un imam algérien condamné pour antisémitisme expulsé

Toulouse : un imam algérien condamné pour antisémitisme expulsé

Condamné pour la citation d’un «hadith» antisémite en 2018, le religieux, présent en France depuis 1985, se défendait d’une «interprétation décontextualisée» de ses propos. Il est arrivé en Algérie vendredi soir près un arrêté d’expulsion signé le 5 avril par le ministre Gérald Darmanin.

Regarder la vidéo