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La crise a convaincu les ouvriers et les peu qualifiés de se former beaucoup plus

À date, 16 millions de comptes ont été activés, soit une multiplication par deux en un an. LP/ Aurélie Audureau/PHOTOPQR/LE PARISIEN/MAXPPP

Le nombre de comptes personnels de formation (CPF) ouverts a doublé depuis le printemps 2020.

Jamais la formation professionnelle n’aura autant eu le vent en poupe qu’en pleine… pandémie. Après plus d’une année de crise sanitaire, économique et sociale, le gouvernement a fait de cet outil l’un des piliers centraux de sa stratégie pour préserver l’emploi. Une nécessité tant les crises sont de véritables accélérateurs de transition. De fait, l’exécutif n’a eu de cesse, dès le mois de mars 2020, d’appeler et d’inciter les actifs à se former pour se prémunir de l’onde de choc de la crise. Que ce soit par le biais de l’activité partielle, qui permet des actions de formation durant les heures chômées, ou via le dispositif Transco, qui déploie des parcours de reconversion pour faire face à des mutations sectorielles, tout est fait pour permettre d’accroître ou d’engrener de nouvelles compétences.

Salariés comme chefs d’entreprise ont bien compris l’importance de l’enjeu de l’employabilité à l’heure où l’emploi est des plus chahutés. Et ils se sont rués sur leur compte personnel de formation…

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1 commentaire
  • charles7117

    le

    Le 'compte personnel de formation' est une usine à gaz ultra complexe et, je pense, parfaitement inefficace.

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