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La Fédération France victimes: 35 années sur tous les fronts

1500 professionnels (accueillants, juristes, psychologues, travailleurs sociaux) travaillent au sein de la FFV. (Ici, des membres de l’association, en 2019, devant l’entrée du Bataclan, pour un hommage aux victimes des attaques du 13 novembre 2015). Derajinski Daniel/ABACA/Derajinski Daniel/ABACA

REPORTAGE - Attentats, accidents, violences conjugales: depuis le 7 juin 1986, cette organisation, véritable baromètre de la société, est au chevet des Français pour leur apporter des conseils juridiques, une assistance psychologique, des vêtements…

Violences, atteintes aux biens, accidents de la circulation, attentats, catastrophes… Depuis trente-cinq ans, ils sont mobilisés sur tous les fronts. Née le 7 juin 1986, la Fédération France victimes (FFV) rassemble, partout en France, 130 associations d’aide aux victimes, à ne pas confondre avec les associations de victimes, comme l’AfVT ou la Fenvac. Quelque 1500 professionnels, majoritairement salariés (accueillants, juristes, psychologues, travailleurs sociaux) y travaillent. Avec un budget passé de 1 million de francs en 1987 à 32 millions d’euros en 2020, alloué principalement par le ministère de la Justice.

Car, à l’orée des années 1980, c’est de la Place Vendôme et de Robert Badinter que naît l’idée de la FFV. Conscient que «les victimes dérangent», le ministre crée une commission de réflexion qui propose la création d’un réseau associatif d’aide aux victimes. Après le regroupement d’associations fondées parfois depuis des décennies ou créées ex nihilo naît l’Institut national d’aide…

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