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Les logisticiens du dernier kilomètre préfèrent les CDI aux autoentrepreneurs

Un livreur en vélo. FLOHIC Romain

Des grands groupes aux start-up, les acteurs du secteur de la livraison embauchent massivement leurs livreurs. Pour la qualité de service.

Livreur rime avec autoentrepreneur. Le stéréotype a la vie dure car il est popularisé par les coursiers des plateformes de livraison de repas (Uber Eats, Deliveroo…) qui ont envahi nos villes. Mais ce modèle constitue une exception dans la logistique urbaine. Chez les rois de la livraison du dernier kilomètre (Chronopost, Fedex, Colis Privé…) qui acheminent des colis surtout en camionnette, quasiment tous les collaborateurs sont salariés. Avec, pour la très grande majorité, un CDI.

«La valeur des produits acheminés le permet, explique l’expert en transport Jérôme Libeskind. En moyenne, un colis commandé sur internet est à 59 euros contre moins de 20 euros pour un repas commandé sur une plateforme.» De toute façon, beaucoup de ces sociétés n’ont pas vraiment le choix: elles se sont développées à une époque où le statut d’autoentrepreneur n’existait pas et doivent composer avec un effectif composé de salariés.

À vélo ou en camionnette

Mais s’il y a un secteur où le poids de l’histoire est un vain mot, c’est celui du…

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