Publicité
Réservé aux abonnés

Le tourisme à Paris encore à la peine

En temps normal, la capitale ­attire 30 millions de touristes tous les ans. 31500726/Claude Coquilleau - stock.adobe.com

DÉCRYPTAGE - Les touristes asiatiques ne sont pas là, et les Américains reviennent tout juste. Un coup dur car ces visiteurs lointains sont ceux qui dépensent le plus.

Tout un symbole: ce vendredi, la tour Eiffel rouvre ses portes, après huit mois et demi de fermeture. Pour le début de la saison touristique d’été, c’est Paris dans son ensemble qui s’est refait une beauté. La Ville lumière accueille un Grand Palais éphémère sur le Champs de Mars, le Musée Carnavalet, fermé depuis 2016, a été entièrement rénové, la collection Pinault a ouvert au public. Mais pour que Paris soit une fête, encore faudrait-il que les touristes soient au rendez-vous. Ce qui n’est pas encore le cas.

En temps normal, la capitale attire 30 millions de touristes tous les ans (et plus de 50 millions dans l’Île-de-France). À Paris, 75 % des visiteurs sont Européens, Français inclus, et 25 % venus des autres continents, et notamment de Chine, du Japon et des États-Unis. Cet afflux est une manne: le tourisme représente 15 % des emplois et 13 % du PIB de la région parisienne. Autant dire que la pandémie a porté un rude coup. En 2020, le tourisme n’a engendré que 6 milliards d’euros de…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 80% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

Déjà abonné ? Connectez-vous

Le tourisme à Paris encore à la peine

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner
18 commentaires
  • 2718350 (profil non modéré)

    le

    Pourquoi avoir réélu Hidalgo, elle a détruit Paris, la ville lumière s’éteint,

  • Lunique

    le

    Tiens, les touristes n'ont pas envie de rouler à 30km/h au milieu des rats ? Comme c'est étonnant...

  • départ

    le

    qui veut aller à Paris pour se faire escroquer, voler et vivre dans une ville sale,ou la violence règne à tous les coins de rues parce que nos journalistes de la presse écrite et les médias ne disent pas tout comme les jeunes qui se sont fait agressés lors de rassemblements et les filles qui ont subies des attouchements et des viols , la personne n'en parle

À lire aussi