Planque, filature, changement d’apparence: détective privé, un métier d’actualité loin des clichés et des fantasmes
DÉCRYPTAGE - Nouvelle présidente du syndicat majoritaire de la profession, Elie Quenet présente au Figaro cette activité prisée mais aussi très contrôlée.
Un immeuble qui ne paie pas de mine. À droite de la porte, un simple autocollant précise «Agence Dubly». Il faut arriver devant la porte du deuxième étage pour savoir qu’on a affaire à un cabinet d’investigations. Dans ce grand bureau lumineux du 17e arrondissement de Paris, Elie Quenet, présidente du Syndicat national des agents de recherche privée (Snarp), présente le métier qu’elle exerce depuis plus de vingt ans: détective privé.
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Une profession passionnante qui la «tient éveillée la nuit». Dans une pièce, à l’abri des regards, surabondent des notes, des images sur ses recherches en cours. Comme elle, environ mille détectives privés exercent ce métier réglementé, loin des fantasmes véhiculés par les films et les romans policiers.
La dénomination officielle du détective privé est celle d’agent de recherche privée (ARP). Ce sont avant tout «des spécialistes de l’administration de la preuve», rappelle Elie Quenet, au sens où ceux-ci cherchent à récolter des éléments pouvant être utilisés…
3629420 (profil non modéré)
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Il faut pouvoir passer inaperçu, autant dans un restaurant 4 étoiles => Ca existe pas un resto 4 etoiles en fait... dommage
Cap de Burra
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Certains détectives travaillent pour l'Assurance maladie, pour surveiller ceux qui se font passer pour des handicapés afin de percevoir des ressources sans travailler. J'ai vu un reportage intéressant à ce sujet, c'est un métier dur mais utile.
kickass
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Un vrai métier de fouille m.....