Les autocaristes ne voient pas l'ombre d'une reprise Contenu réservé aux abonnés
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Paralysés par une absence totale d'activité et de perspectives dans le secteur du voyage les autocaristes cherchent des relais de croissance ailleurs. Un défi car la main-d'oeuvre leur fait cruellement défaut pour prendre de nouveaux engagements.
Par Françoise Sigot
« Si on parvient à remonter à 50 à 60 % de l'activité normale en 2022, ce sera déjà ça. » Presque résigné après près de 2 ans de quasi-inactivité, Pierryck Burban, président du Groupement des autocaristes du tourisme français (GATF), une organisation née à la faveur de la crise pour fédérer les autocaristes actifs dans le tourisme, peine à voir arriver les jours meilleurs.
« La majorité de notre activité se fait avec les touristes étrangers et ils ne sont pas revenus. Au mieux, les autocaristes spécialisés dans le tourisme feront entre 20 et 30 % de leur chiffre d'affaires cette année », calcule-t-il.
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