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Les enjeux d’une rentrée universitaire en présentiel

Les cours en présentiel ont repris pour les étudiants de la faculté de médecine de l’université de Lille. Baziz Chibane/PHOTOPQR/VOIX DU NORD/MAXPPP

Les étudiants envahissent à nouveau les amphithéâtres, une bonne nouvelle qui ne doit pas masquer leurs nombreuses difficultés, accentuées par la crise sanitaire.

Une rentrée «la plus normale possible». C’était le vœu de Jean-Michel Blanquer pour la rentrée scolaire. C’est aussi celui de Frédérique Vidal, ainsi que de l’immense majorité des élèves, professeurs et personnels des établissements du supérieur, pour la rentrée universitaire. Premier motif d’optimisme en cette reprise, échelonnée comme chaque année sur l’ensemble du mois de septembre: à l’heure actuelle, 86 % des 18-24 ans ont reçu une première dose de vaccin contre le Covid-19. Un taux «excellent», se félicite la ministre de l’Enseignement supérieur, qui a très tôt affiché l’objectif d’une rentrée 100 % en présentiel. «Un vœu en juin, un espoir raisonnable en juillet, et une réalité aujourd’hui, estime Frédérique Vidal. Car le présentiel, c’est essentiel.» Quant aux événements étudiants festifs, ils seront soumis, à l’heure des week-ends d’intégration et des premières soirées de l’année, au passe sanitaire (lire ci-contre).

Mais sur le terrain, le 100 % présentiel n’est pas toujours une…

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5 commentaires
  • Anonyme

    le

    en 'présentiel'...
    Le nouveau mot à la mode!

  • Fanny13

    le

    Déjà les premiers cas de covid en master...

  • anonyme

    le

    C’est un gag bien français : envoyer à l’université par centaines de milliers des jeunes qui n’ont aucun goût pour le travail intellectuel et l’abstraction… et s’étonner des mauvais résultats.

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