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Frédérique Vidal: «L’enjeu est de préserver le taux d’insertion professionnelle»

Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro

ENTRETIEN - La ministre de l’Enseignement supérieur a annoncé la création de 4400 places en master à l’université. Elle défend toutefois le maintien de l’exigence en master, garante d’une insertion professionnelle réussie.

Tout étudiant diplômé d’une licence est-il destiné à poursuivre automatiquement en master? C’est la question de fond posée par la situation de ces 7400 étudiants qui ont saisi depuis juillet leurs universités pour faire valoir leur «droit à la poursuite d’études». Face à la grogne, la ministre de l’Enseignement supérieur a annoncé la création de 4400 places.

Dans les facs, les commissions d’accompagnement ont reçu, mardi, les derniers dossiers litigieux et tentent de trouver des solutions. Si Frédérique Vidal fait valoir le «travail de dentelle» mis en place par ses services, elle explique aussi qu’il faut maintenir l’exigence en master, garante d’une insertion professionnelle réussie.

LE FIGARO. -7400 étudiants refusés en master ont saisi les universités. Où en sommes-nous?

Frédérique VIDAL. - Les commissions continuent de travailler. Quelque 2400 étudiants ont déjà reçu une proposition. C’est un travail de dentelle. À ce jour, les universités proposent 170.000 places en master, pour environ…

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8 commentaires
  • oeildelynx

    le

    Elle vit à saint Mandé. Le Neuilly de l'est parisien ! la mixité sociale ! l'immigration ! qu'elle wargon (fille du ministre stoléru père du regroupement familiale), fuit en habitant un quartier privilégié de Paris ! afin d'avoir calme et sérénité pour l'étude de ses enfants ! dénoncée par zemmour, elle ne savait pas quoi répondre ! condescendance mépris de classe et hypocrisie sont son ADN lrem ! elle ose tout ! quand zemmour lui a rappelé elle est restée sans voix ! mdr

  • Anonyme

    le

    On donne le bac à des élèves qui savent à peine lire, l'université a dû s'adapter pour ne pas avoir un taux d'échec faramineux. La licence reprend au niveau 3ème, le niveau bac s'obtient en fin de master 1. Le problème est que les élèves veulent le Master 2 pour avoir un "niveau bac+5" qui ne vaut plus rien non plus pour nombre de spécialités... C'est sans solution tant que l'Education Nationale ne sera pas remise au travail. La recherche est très perturbée ensuite, ainsi que l'industrie qui ne trouve plus de compétences. Une notion qu'on a oubliée jusque dans les ministères malheureusement.

  • Raslacaisse

    le

    Le niveau scolaire est devenu dramatique et ceci depuis 1981. Avoir le BAC correspond au certificat d'etudes des années avant 1980.

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