A peine élu, et tandis qu’il inaugurait le TGV Paris-Rennes en juillet 2017, Emmanuel Macron stoppait les projets de lignes à grande vitesse (LGV). Place aux transports du quotidien et à la poursuite de la rénovation du réseau ferré, défendait alors le chef de l’État. Une courte pause, quatre ans à peine. Le 17 septembre 2021, pour les 40 ans du TGV et le dévoilement du « nez » du TGV nouvelle génération, il a annoncé trois nouvelles LGV : Bordeaux-Toulouse, Montpellier-Perpignan et Marseille-Nice, déjà promises par son Premier ministre Jean Castex.
Il y a comme une urgence, à l’heure où les concurrents de la compagnie publique viennent toquer aux portes des gares françaises. La concurrence devient concrète : dans quelques semaines, Thello (filiale de Trenitalia) mettra en service un ...
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