Publicité

Jeunes et emploi : profiter de l'éclaircie - Notre numéro sur les opportunités à saisir

Redémarrage, reprise, dynamisme, record… L'enthousiasme de la rentrée 2021 sur le front de l'emploi tranche avec le catastrophisme d'il y a un an. Encore faut-il savoir repérer les signaux faibles et aussi savoir ce que l'on veut. Bref, rien d'évident. Suivez le guide !

0603605166715_web_tete.jpg
(Adrien Herda)

Par Julia Lemarchand

Publié le 27 sept. 2021 à 11:44Mis à jour le 6 oct. 2021 à 10:23

Il y a un an, les scénarios les plus catastrophistes sur l'emploi des jeunes étaient sur la table. Cette génération que l'on disait « sacrifiée » s'est révélée plus résiliente que prévu, notamment à la faveur du plan « 1 jeune 1 solution ».

Les difficultés pour décrocher un job n'en ont pas moins été réelles, et les questionnements sur la recherche de sens et d'impact toujours aussi vifs. Alors que la reprise commence sérieusement à se dessiner, comment prendre la balle au rebond ?

STA_202109fullbd.pdf

Dans le détail, voici le menu de ce numéro des Echos START :

Publicité

- Le long format de ce numéro : notre enquête sur les 8 leviers à activer pour débusquer un job . Vous trouverez dans un même article 8 mots-clés décryptés (French Tech, télétravail, mentorat, filières d'avenir, nouvelles écoles…) qui vous aideront à cibler votre recherche d'emploi.

- « La crise n'est pas encore derrière nous » . La ministre du Travail Elisabeth Borne répond à nos questions sur la situation de l'emploi des jeunes (un sujet toujours aussi sensible, un an après le lancement du plan « 1 jeune 1 solution »). Et, au passage, elle livre un conseil pour trouver un job, tiré de son expérience personnelle.

- Avec la crise, ils sont entrés sur le marché du travail plus tôt que prévu : Un jeune sur six a arrêté ses études durant la pandémie. Cours en distanciel, isolement, parcours inadapté… les causes sont multiples. Mais peut-on pour autant réduire ce phénomène au décrochage ? Comment ont rebondi ces ex-étudiants et qu'ont-ils retiré de cette plongée prématurée dans le monde du travail ?

- Avant de décrocher un emploi, il y a le temps de la recherche plus ou moins long qu'il faut savoir occuper utilement , et l'épreuve des entretiens à laquelle on est plus ou moins bien préparé. Mais au fait, les grandes écoles forment-elles toujours les champions de l'entretien ?

- Entrer dans la vie active en créant sa propre entreprise, une folie ? L'expérience semble en tout cas se « banaliser », à la faveur de la pléthore de dispositifs d'accompagnement. Et la crise n'infléchit pas le mouvement, au contraire. Et si je créais mon premier emploi plutôt que de le chercher ? Ils sont fraîchement diplômés, voire encore étudiants, et déjà chefs et cheffes d'entreprise.

- Tout le monde ne trouve pas sa voie du premier coup. Nous avons parlé avec celles et ceux qui abordent un changement de cap sans tabou. Parfois seulement quelques mois après être entrés sur le marché du travail. Désenchantés par leur premier emploi, ils se réorientent illico . No problemo !

- Il faut dire que la pression pour trouver un travail qui a du sens, de l'impact, du concret est plus que jamais présente. « Les bullshit jobs, c'est fini ? ». Une chose est sûre, aujourd'hui si tu n'aimes pas ton job, c'est que tu as raté ta vie ! Ou comment l'Ikigaï (note explicative dans l'article, promis) est devenu une nouvelle injonction.

- Résiste, prouve que tu existes, et que ton job vaut son pesant d'or, quoi que l'on en dise. Ils ne sont peut-être pas « glamours », mais ils rapportent gros ces métiers… Et en plus, on peut tout à fait s'y épanouir. La bonne nouvelle !

Rédaction START

Publicité