Le scolaire, parent pauvre de l'edtech française Contenu réservé aux abonnés
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Les levées de fonds des start-up de l'éducation et de la formation ont explosé depuis le début de l'année. Mais les plus grosses opérations concernent majoritairement les solutions dédiées à la formation pour les professionnels.
Par Charlie Perreau
Une méga levée qui en cache surtout plein de petites autres. Le tour de table de 200 millions de dollars de 360Learning, plateforme d'apprentissage en entreprise, n'est pas représentatif de l'edtech française. Les levées de fonds à deux ou trois chiffres sont surtout réservées à quelques start-up qui s'adressent aux professionnels, à l'image d'OpenClassrooms qui a récolté 70 millions d'euros en avril dernier .
Il n'existe pas d'étude qui détaille la répartition des financements de capital-risque au sein de l'edtech tricolore, à savoir le scolaire (appelé K-12), l'enseignement supérieur et la formation professionnelle, mais les experts du secteur sont unanimes : les investissements sont inégaux.
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