En Guadeloupe, le nombre d’écoles privées explose
Coupures d’eau, rats, grèves… Les fermetures très régulières dans le public provoquent une ruée des parents sur le hors contrat.
Cette année, dès le lendemain de la rentrée scolaire, décalée en Guadeloupe à cause de la violence de la quatrième vague de Covid sur l’île, des écoles fermaient leurs portes. En cause, le manque d’eau. «Cette année, j’ai changé ma fille d’école, confie Béatrice, la maman de Camille, pétillante fillette de 5 ans dont les deux premières années d’école maternelle, dans la commune de Petit-Bourg, ont été quasi inexistantes. Pour la rentrée de l’année 2019-2020, tout était normal jusqu’en décembre». Janvier 2020 a ensuite signé le début d’une scolarité chaotique pour les écoliers de l’île. D’abord, la grève contre la réforme des retraites a conduit à la fermeture de nombreuses écoles. Puis, le confinement jusqu’en mai, avec son lot de protocoles sanitaires à cause desquels les mairies et la région ont refusé d’ouvrir les établissements. Enfin, pour la rentrée suivante, il y a eu deux mois de grèves des agents municipaux qui ont paralysé, bloqué, voire vandalisé, de nombreuses écoles de l’île…
Quid?
le
Des explosions en Guadeloupe!
QI ou pétards d'artifice?
lefigaroUMP
le
Les très bon élèves , sont très brillants ,
Ragnar
le
Sapotille comme la plupart des élus de Guadeloupe sont des voyous dont la clientèle électorale irriguée par l'UGTG constitue un frein au développement de cet archipel pourtant joli.
Les enseignants du public en Guadeloupe sont mauvais mais moins qu'en metwopol.
Oui face à la décadence du public noyaute par les syndicats, le privé reste une valeur sûre pour les parents qui ne veulent pas sacrifier l'enseignement (et non l'éducation) de leurs enfants.