EDF et la filière prêts à répondre à une commande de six EPR
Les retards sur le chantier de Flamanville, ainsi que l’urgence à décider d’une relance du nucléaire, devraient pousser le président à passer commande de trois paires d’EPR 2 dans les prochaines semaines.
Ce doit être la commande qui relance l’industrie nucléaire française. EDF se prépare depuis de longs mois à recevoir le feu vert de l’État pour la construction de six réacteurs nouvelle génération EPR 2. Il s’agit d’un modèle amélioré de l’EPR de Flamanville et de celui de Hinkley Point, en cours de construction au Royaume-Uni. La filière se dit sur les starting-blocks. «Nous n’attendons plus qu’une décision politique structurante pour lancer un programme de construction de nouveaux EPR 2, confie Cécile Arbouille, déléguée générale du Gifen, la fédération professionnelle de l’atome. Nous avons besoin avant tout de visibilité.»
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Emmanuel Macron a désormais tous les éléments en main. Un dossier technique et financier très détaillé a été transmis aux services de l’État cet été. Le président disait vouloir attendre que l’EPR de Flamanville soit mis en route pour commander de nouveaux EPR. Mais les retards à répétition sur ce chantier, ainsi que l’urgence à décider d’une relance du nucléaire…
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anonyme
le
sous traité au chinois, ? parce qu' eux, ils savent faire quand au machin du havre on attend toujours la mise en service avec un retard de 10 ans et un doublement de la facture ah oui j oublais ils n'ont pas d enarques ! les pauvres mdr
LIONEL FLEURY
le
Depuis quand est-ce un Président de la République qui passe des commandes ? Il s'occupe aussi des stylos à bille des fonctionnaires?
Oskar Lafontaine
le
Macron pour l'élection d'avril, se sent déjà perdant, donc il "gratte les fonds ce tiroirs" dans l'espoir de récolter ainsi quelques voix supplémentaires d'électeurs potentiels encore naïfs et crédules sur la question. nucléaire. Le nucléaire n'est pas rentable du tout pour produire de l'électricité, donc, tout le monde sur la planète "laisse tomber", Macron le sait bien, mais comme après les élections, et s'il est élu, il se ravisera, il préfère promettre tout et son contraire, du nucléaire et des renouvelables, pour "ratisser" large, alors que le nucléaire est déjà presque au double de prix du MW/h d'électricité issue de renouvelables et que dans dix ans, en 2031 quand un premier EPR entrerait en service le fossé de prix et de coûts entre renouvelables et nucléaire se sera encore plus élargi et creusé.