Le secteur funéraire est peu connu et est délaissé par les candidats à la fonction publique. « On entre dans le funéraire par hasard, on y reste par passion. » Cet adage, bien connu dans le milieu, illustre ce qui est arrivé à Jean-Christophe Peyroulet-Lamaison. A 17 ans, il trouve un job d’été : fossoyeur dans un cimetière en Corrèze. « C’est un travail de forçat mais ça forge un homme ! » se souvient-il.
Puis, il bifurque vers la maçonnerie et, en 2014, retour au cimetière. « La ville de Limoges cherchait un maçon fossoyeur, je savais déjà que je n’avais pas la crainte de la mort donc j’ai postulé », raconte-t-il.
Une grande technicité
Au quotidien, l’inhumation et l’exhumation occupent 40 % du temps. A l’aide d’une ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes
Thèmes abordés