Renault supprimera moins de postes que prévu Contenu réservé aux abonnés
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Les négociations entre le groupe au Losange et ses représentants syndicaux sur un nouvel accord triennal sont achevées. Le nombre de suppressions de postes envisagées a été revu à la baisse, à 1.700 sur trois ans, dont 1.150 via un plan de rupture conventionnelle collective en 2022.
Par Anne Feitz
Renault promet de conforter son ancrage dans l'Hexagone pour les trois prochaines années, mais pas sans contreparties. Après deux mois et demi de réunions avec les représentants de ses salariés en France, les négociations entamées le 16 septembre sur un nouvel accord triennal viennent de s'achever.
Portant sur la période 2022-2024, celui-ci prévoit de nouvelles suppressions de postes et quelques sacrifices sur l'organisation du travail, mais aussi des engagements sur l'affectation de véhicules et sur la production, sur fond de difficultés financières et de pénuries de composants.
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