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Eolien en mer : comment la filière souhaite accélérer la cadence en France

France énergie éolienne (FEE) et le Syndicat des énergies renouvelables (SER) présentent cinq propositions pour accélérer le développement de l'éolien en mer. Selon eux, « un objectif de 50 GW d'ici à 2050 » au large des côtes françaises est « réaliste et souhaitable » pour atteindre la neutralité carbone.

Le premier parc éolien en mer à voir le jour en France sera celui de Saint-Nazaire. Il devrait commencer à produire d'ici à fin 2022, début 2023.
Le premier parc éolien en mer à voir le jour en France sera celui de Saint-Nazaire. Il devrait commencer à produire d'ici à fin 2022, début 2023. (Baptiste Roman/Hans Lucas via AFP)

Par Enrique Moreira

Publié le 2 déc. 2021 à 11:00Mis à jour le 2 déc. 2021 à 15:16

La France peut-elle encore rattraper son retard sur le développement de l'éolien en mer ? La filière en est persuadée. A condition, estime-t-elle, de mettre rapidement en place de « mesures concrètes et ambitieuses […] pour replacer notre pays sur la trajectoire » de ses objectifs en matière de transitions énergétique.

Le syndicat des énergies renouvelables (SER) et France énergie éolienne (FEE) ont pour cela dressé cinq propositions afin d' « accélérer dès maintenant » l'éolien en mer. Elles doivent permettre d'atteindre une capacité installée de 50 GW à horizon 2050. Un objectif jugé « non seulement atteignable mais indispensable », alors que Bruxelles estime que la filière devrait atteindre une capacité européenne de 300 MW à cette même date.

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