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Ces rois de la livraison express qui préfèrent les salariés en CDI

Présent dans 25 pays dans le monde, Just Eat a pris ce tournant au début de l’année dans les trente plus grosses agglomérations hexagonales où il opère. TOBY MELVILLE/REUTERS

DÉCRYPTAGE - Après avoir beaucoup fait appel à des autoentrepreneurs, des plateformes du secteur se sont converties au salariat.

Uber ou FreeNow pour le VTC, Uber Eats et Deliveroo pour la livraison de repas… la grande majorité des plateformes dans ces secteurs emploient exclusivement des autoentrepreneurs. Mais quelques francs-tireurs font le pari de recruter des salariés en CDI, même si cela leur coûte plus cher. Présent dans 25 pays dans le monde, Just Eat a pris ce tournant au début de l’année dans les trente plus grosses agglomérations hexagonales où il opère.

«C’est une façon d’améliorer notre qualité de service, souligne Méleyne Rabot, directrice générale de Just Eat France. Si un coursier est payé à l’heure et pas à la tâche, il prendra le temps de bien caler la boîte à pizza et la boisson pour qu’elles ne se retournent pas. Avoir des CDI est rentable dans les grandes villes où on a de gros volumes de commandes.» Le numéro trois Français de la livraison de repas sait de quoi il parle: il compte 40.000 livreurs en CDI en Europe. Ces salariés travaillent plutôt à temps partiel. Sur les 4500 livreurs recrutés…

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