Publicité
Réservé aux abonnés

Le recrutement inversé plébiscité par les ingénieurs

Les trois secteurs les plus en pointe sur le recrutement inversé sont l’industrie (18 %), le conseil (10 %) et l’informatique (8 %). 333990761/Svitlana - stock.adobe.com

De plus en plus d’entreprises embauchent des profils rares sans avoir de poste concret à leur proposer.

La guerre des talents fait rage chez les ingénieurs dont la pandémie a renforcé la rareté sur le marché du travail. Les candidats sont d’autant plus en position de force que le numérique favorise leur exposition. «L’ingénieur qui veut changer de poste est aujourd’hui maître du jeu. Les technologies évoluent très vite et les candidats sont de plus en plus rares. C’est à l’entreprise de se rendre attractive pour qu’il la rejoigne», relève ainsi Alexandre Roy, fondateur de Strateos, plateforme spécialisée dans le recrutement d’ingénieurs qui compte 150.000 profils en base.

L’entreprise, qui accompagne des groupes comme Vinci, Eiffage ou la SNCF, leur propose notamment des profils rares sans pour autant qu’une offre de poste ait été définie. «Nous pratiquons le recrutement inversé: certaines entreprises n’ont pas forcément de poste à pourvoir, mais peuvent être intéressées pas des personnalités et des compétences particulières lorsqu’elles ont les moyens d’engager. In fine, on crée le besoin»

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 69% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

Déjà abonné ? Connectez-vous

Le recrutement inversé plébiscité par les ingénieurs

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner
Aucun commentaire

Il n'y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !

À lire aussi