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Insee Focus · Janvier 2022 · n° 258
Insee FocusEn 2020, la crise sanitaire a rendu plus difficile l’accès à l’emploi à la sortie des études

Émilie Pénicaud (Insee)

En moyenne sur l’année 2020, 68,3 % des jeunes sortis de formation initiale depuis 1 à 4 ans étaient en emploi. C’est 1,0 point de moins qu’en 2019, alors que le taux d’emploi est resté quasi stable pour les personnes ayant achevé leurs études depuis plus longtemps.
Le recul du taux d’emploi des sortants de formation initiale a été particulièrement marqué au 2e trimestre 2020, sous l’effet du premier confinement de la population. Plus souvent en contrat à durée limitée (CDD, intérim), les jeunes sortants ont de fait été plus exposés que leurs aînés. Le recul de l’emploi s’observe sur l’ensemble de l’échelle des diplômes, mais avec des disparités selon les spécialités de formation.

Insee Focus
No 258
Paru le :Paru le06/01/2022

Un recul du taux d’emploi en 2020 pour les sortants de formation initiale

En 2020, l’épidémie de Covid-19 a affecté les conditions d’accès au marché du travail. En phase d’insertion professionnelle, les jeunes depuis 1 à 4 ans, c’est-à-dire entre 2016 et 2019, soit avant le début de la crise sanitaire, ont été les plus affectés par cette situation exceptionnelle. Par rapport à 2019, le de ces sortants s’est réduit de 1,0 point, atteignant 68,3 % en moyenne sur l’année 2020 (figure 1a). Davantage insérées sur le marché du travail, les personnes ayant achevé leurs études initiales depuis 5 à 10 ans ont un taux d’emploi déjà plus élevé, qui est resté quasi stable pendant la crise (+ 0,1 point sur un an à 78,1 % en 2020) ; c’est aussi le cas des personnes ayant terminé leurs études depuis 11 ans ou plus (– 0,1 point sur un an à 79,0 %).
Le recul du taux d’emploi pour les jeunes à leur entrée dans la vie active entre 2019 et 2020 concerne aussi bien les hommes que les femmes, même s’il est un peu plus prononcé pour les premiers : – 1,3 point pour les jeunes hommes, contre – 0,8 point pour les jeunes femmes (figure 1b, figure 1c). Ceci accentue l’écart favorable aux jeunes femmes : en 2020, 1 à 4 ans après leur sortie de formation initiale, 68,7 % des femmes sont en , soit 0,8 point de plus que leurs homologues masculins. À partir de 5 ans après la fin des études, la situation s’inverse : en 2020, le taux d’emploi féminin est de 6,0 points inférieur au taux d’emploi masculin parmi les personnes sorties de formation initiale depuis 5 à 10 ans ; cet écart atteint même 8,4 points parmi celles ayant achevé leurs études depuis 11 ans ou plus.

Figure 1a – Taux d’emploi selon la durée écoulée depuis la sortie de formation initiale

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Figure 1a – Taux d’emploi selon la durée écoulée depuis la sortie de formation initiale (en %) - Lecture : en 2020, 68,3 % des jeunes sortis de formation initiale depuis 1 à 4 ans sont en emploi.
Sorties depuis 1 à 4 ans Sorties depuis 5 à 10 ans Sorties depuis 11 ans ou plus
2014 66,8 76,4 77,4
2015 66,5 75,5 77,4
2016 66,9 76,4 77,8
2017 68,6 76,9 78,3
2018 69,8 77,4 78,8
2019 69,3 78,0 79,1
2020 68,3 78,1 79,0
  • Lecture : en 2020, 68,3 % des jeunes sortis de formation initiale depuis 1 à 4 ans sont en emploi.
  • Champ : France hors Mayotte, personnes vivant en logement ordinaire, âgées de 15 à 60 ans, sorties depuis un an ou plus de formation initiale.
  • Source : Insee, enquêtes Emploi 2014 à 2020.

Figure 1a – Taux d’emploi selon la durée écoulée depuis la sortie de formation initiale

  • Lecture : en 2020, 68,3 % des jeunes sortis de formation initiale depuis 1 à 4 ans sont en emploi.
  • Champ : France hors Mayotte, personnes vivant en logement ordinaire, âgées de 15 à 60 ans, sorties depuis un an ou plus de formation initiale.
  • Source : Insee, enquêtes Emploi 2014 à 2020.

Un net repli de l’emploi au 2e trimestre 2020

Le taux d’emploi des jeunes sortis depuis 1 à 4 ans de formation initiale s’est particulièrement replié lors du 2e trimestre 2020, marqué par le premier confinement de la population. Par rapport au 2e trimestre 2019, ce taux a ainsi reculé de 3,8 points pour s’établir à 66,3 % (figure 2). Sans retrouver son niveau de 2019, il s’est ensuite redressé aux 3e et 4e trimestres 2020, avec un recul sur un an nettement atténué (– 0,8 point, puis – 1,0 point). Le taux d’emploi des personnes ayant terminé leurs études depuis 5 à 10 ans (– 1,3 point) ou depuis 11 ans ou plus (– 0,6 point) a également reculé au 2e trimestre 2020 sur un an, mais de manière plus modérée.

Figure 2 – Évolution entre 2019 et 2020 du taux d’emploi par trimestre selon la durée écoulée depuis la sortie de formation initiale

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Figure 2 – Évolution entre 2019 et 2020 du taux d’emploi par trimestre selon la durée écoulée depuis la sortie de formation initiale (en points) - Lecture : entre le 1er trimestre 2019 et le 1er trimestre 2020, le taux d'emploi des personnes sorties de formation initiale depuis 1 à 4 ans a augmenté de 1,4 point.
Sorties depuis 1 à 4 ans Sorties depuis 5 à 10 ans Sorties depuis 11 ans ou plus
1er trimestre 1,4 1,0 0,6
2e trimestre – 3,8 – 1,3 – 0,6
3e trimestre – 0,8 – 0,2 – 0,1
4e trimestre – 1,0 0,8 – 0,2
  • Lecture : entre le 1er trimestre 2019 et le 1er trimestre 2020, le taux d'emploi des personnes sorties de formation initiale depuis 1 à 4 ans a augmenté de 1,4 point.
  • Champ : France hors Mayotte, personnes vivant en logement ordinaire, âgées de 15 à 60 ans, sorties depuis un an ou plus de formation initiale.
  • Source : Insee, enquêtes Emploi 2019 et 2020.

Figure 2 – Évolution entre 2019 et 2020 du taux d’emploi par trimestre selon la durée écoulée depuis la sortie de formation initiale

  • Lecture : entre le 1er trimestre 2019 et le 1er trimestre 2020, le taux d'emploi des personnes sorties de formation initiale depuis 1 à 4 ans a augmenté de 1,4 point.
  • Champ : France hors Mayotte, personnes vivant en logement ordinaire, âgées de 15 à 60 ans, sorties depuis un an ou plus de formation initiale.
  • Source : Insee, enquêtes Emploi 2019 et 2020.

En 2020, une hausse du chômage et de son halo pour les jeunes sortants de formation initiale

Le recul du taux d’emploi s’est traduit par une hausse de la part des jeunes sortants d’étude sans emploi et qui souhaitent travailler, qu’ils soient au ou dans son (+ 1,6 point ; figure 3b). La crise sanitaire ayant fortement limité les démarches de recherche d’emploi, notamment pendant les périodes de confinement, la hausse du chômage a été limitée (+ 0,2 point en moyenne sur l’année) alors que celle du halo autour du chômage a été plus marquée (+ 1,4 point). Au total, en 2020, 21,2 % des sont au chômage ou dans son halo (figure 3a). La part de jeunes en phase d’insertion professionnelle qui sont inactifs sans relever du halo a reculé (– 0,5 point par rapport à 2019, pour atteindre 10,6 %) ; la moitié de ces jeunes ont suivi une formation, conduisant ou pas à un diplôme ou titre reconnu.
Par rapport à 2019, la part de sortants sans emploi souhaitant travailler augmente davantage pour les jeunes femmes que pour les jeunes hommes (+ 2,3 points contre + 0,8 point).

Figure 3a – Situation sur le marché du travail en 2020 selon la durée écoulée depuis la sortie de formation initiale

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Figure 3a – Situation sur le marché du travail en 2020 selon la durée écoulée depuis la sortie de formation initiale (en %) - Lecture : en 2020, 68,3 % des jeunes sortis de formation initiale depuis 1 à 4 ans sont en emploi, 21,2 % sont au chômage ou dans son halo et 10,6 % sont inactifs sans relever du halo.
Emploi Chômage Inactifs appartenant au halo
autour du chômage
Inactifs en dehors du halo
autour du chômage
Ensemble
Sorties depuis 1 à 4 ans 68,3 14,1 7,1 10,6 100,0
Sexe
Femmes 68,7 12,9 6,6 11,8 100,0
Hommes 67,9 15,2 7,6 9,4 100,0
Niveau de diplôme
Diplôme du supérieur long 81,9 9,0 3,7 5,4 100,0
Diplôme du supérieur court 80,6 11,5 4,0 3,9 100,0
Bac ou équivalent 60,8 16,7 8,4 14,2 100,0
CAP, BEP ou équivalent 60,7 18,9 12,2 8,2 100,0
Aucun diplôme, CEP, brevet des collèges 27,6 25,4 15,7 31,3 100,0
Sorties depuis 5 à 10 ans 78,1 8,8 6,2 6,9 100,0
Sorties depuis 11 ans ou plus 79,0 5,4 4,5 11,1 100,0
  • Lecture : en 2020, 68,3 % des jeunes sortis de formation initiale depuis 1 à 4 ans sont en emploi, 21,2 % sont au chômage ou dans son halo et 10,6 % sont inactifs sans relever du halo.
  • Champ : France hors Mayotte, personnes vivant en logement ordinaire, âgées de 15 à 60 ans, sorties depuis un an ou plus de formation initiale.
  • Source : Insee, enquêtes Emploi 2019 et 2020.

Les sortants d'étude plus exposés au recul des emplois à durée limitée en 2020

En 2020, alors que la part des personnes en emploi à durée indéterminée (contrats à durée indéterminée, fonctionnaires) dans l’emploi total a augmenté de 0,5 point par rapport à 2019, la part des contrats à durée déterminée (CDD) a reculé de 0,6 point et celle de l’intérim de 0,3 point. Ce recul des emplois à durée limitée (CDD, intérim) a été particulièrement marqué au 2e trimestre 2020, lors du premier confinement de la population.
Les sortants de formation initiale ont été les premiers touchés car ils occupent plus fréquemment ce type d’emploi à leur entrée sur le marché du travail. En 2019, avant la crise sanitaire, 27,5 % des jeunes sortis de formation initiale depuis 1 à 4 ans étaient en effet en CDD ou en intérim, contre 16,3 % des personnes ayant achevé leurs études depuis 5 à 10 ans et 8,0 % des personnes les ayant terminées depuis 11 ans ou plus (figure 4).

Figure 4 – Statut d'emploi en 2019 selon la durée écoulée depuis la sortie de formation initiale

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Figure 4 – Statut d'emploi en 2019 selon la durée écoulée depuis la sortie de formation initiale (en %) - Lecture : en 2019, 63,2 % des personnes sorties de formation initiale depuis 1 à 4 ans et en emploi sont en emploi à durée indéterminée.
Statut d'emploi en 2019
Sorties depuis 1 à 4 ans Sorties depuis 5 à 10 ans Sorties depuis 11 ans ou plus
Indépendants 6,5 8,7 13,7
Salariés 93,5 91,3 86,3
Emploi à durée indéterminée 63,2 74,3 78,3
Contrat à durée déterminée 22,3 13,0 6,0
Intérim 5,2 3,3 2,0
Apprentissage 2,9 0,8 0,1
Ensemble 100,0 100,0 100,0
  • Lecture : en 2019, 63,2 % des personnes sorties de formation initiale depuis 1 à 4 ans et en emploi sont en emploi à durée indéterminée.
  • Champ : France hors Mayotte, personnes vivant en logement ordinaire, en emploi.
  • Source : Insee, enquête Emploi 2019.

Figure 4 – Statut d'emploi en 2019 selon la durée écoulée depuis la sortie de formation initiale

  • Lecture : en 2019, 63,2 % des personnes sorties de formation initiale depuis 1 à 4 ans et en emploi sont en emploi à durée indéterminée.
  • Champ : France hors Mayotte, personnes vivant en logement ordinaire, en emploi.
  • Source : Insee, enquête Emploi 2019.

Des difficultés d’accès à l’emploi partagées à tous les niveaux de diplôme

Entre 2019 et 2020, le taux d’emploi des jeunes récemment sortis de formation initiale a diminué, quel que soit leur niveau de diplôme. Seuls les diplômés du supérieur court, qui inclut notamment les diplômes paramédicaux et sociaux, font exception, avec un taux d’emploi qui a résisté (– 0,2 point sur un an, à 80,6 % en 2020 ; figure 5a). En phase d’insertion professionnelle, que ce soit pendant ou en dehors de la crise sanitaire, les plus diplômés restent ceux qui accèdent le plus à l’emploi : en 2020, 1 à 4 ans après la fin de leurs études, 81,9 % des diplômés du sont en emploi, contre 60,8 % des titulaires d’un diplôme de niveau bac et seulement 27,6 % des jeunes Par rapport à 2019, le chômage et son halo ont le plus fortement augmenté pour les sortants de formation initiale ayant un diplôme de niveau bac (+ 2,7 points) ou CAP-BEP (+ 2,5 points). Ainsi, en 2020, la part de personnes sans emploi souhaitant travailler demeure d’autant plus faible que le niveau de diplôme est élevé : elle est de 12,7 % parmi les diplômés du supérieur long, contre 41,1 % parmi les peu ou pas diplômés.
La crise sanitaire a eu un impact différencié selon la spécialité de formation, en lien avec les secteurs qui ont été les plus affectés par la crise. Ainsi, alors que le taux d’emploi des sortants récents d’une formation initiale dans l’hôtellerie-tourisme était en 2019 supérieur à celui de l’ensemble des sortants, ce taux s’est replié de 9,7 points en 2020, pour atteindre 62,7 %, un niveau inférieur à la moyenne (figure 5b). Le taux d’emploi des jeunes sortants diplômés en commerce-vente a également reculé, de 5,9 points, pour s’établir à 67,3 %. Au contraire, les titulaires d’un diplôme de la santé bénéficient d’un taux d’emploi très élevé, et qui a progressé en 2020 : 89,7 % en 2020, soit 2,8 points de plus qu’en 2019.

Figure 5a – Taux d’emploi en 2019 et 2020 des sortants de formation initiale selon le niveau de diplôme

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Figure 5a – Taux d’emploi en 2019 et 2020 des sortants de formation initiale selon le niveau de diplôme (en %) - Lecture : en 2020, 1 à 4 ans après la fin de leurs études, 81,9 % des diplômés du supérieur long sont en emploi.
2019 2020
Diplôme du supérieur long 84,4 81,9
Diplôme du supérieur court 80,8 80,6
Bac ou équivalent 61,7 60,8
CAP, BEP ou équivalent 61,9 60,7
Aucun diplôme, CEP, brevet des collèges 28,7 27,6
Ensemble 69,3 68,3
  • Lecture : en 2020, 1 à 4 ans après la fin de leurs études, 81,9 % des diplômés du supérieur long sont en emploi.
  • Champ : France hors Mayotte, personnes vivant en logement ordinaire, âgées de 15 à 60 ans, sorties depuis 1 à 4 ans de formation initiale.
  • Source : Insee, enquêtes Emploi 2019 et 2020.

Figure 5a – Taux d’emploi en 2019 et 2020 des sortants de formation initiale selon le niveau de diplôme

  • Lecture : en 2020, 1 à 4 ans après la fin de leurs études, 81,9 % des diplômés du supérieur long sont en emploi.
  • Champ : France hors Mayotte, personnes vivant en logement ordinaire, âgées de 15 à 60 ans, sorties depuis 1 à 4 ans de formation initiale.
  • Source : Insee, enquêtes Emploi 2019 et 2020.
Publication rédigée par :Émilie Pénicaud (Insee)

Sources

L’ enquête Emploi est la seule source permettant de mesurer le chômage et l’activité au sens du Bureau international du travail (BIT). Elle est menée en continu, sur l’ensemble des semaines de l’année, en France hors Mayotte. Chaque trimestre, en 2020, environ 80 000 personnes de 15 ans ou plus vivant en ménage ordinaire (c’est-à-dire hors foyers, hôpitaux, prisons, etc.) répondent à l’enquête. Les personnes décrivent leur situation vis-à-vis du marché du travail au cours d’une semaine donnée, dite « de référence ».

Définitions

La sortie de formation initiale correspond à une première interruption d’un an ou plus du parcours d’études amorcé à l’école élémentaire. Les personnes n’ayant jamais fait d’études ne sont pas considérées comme sortant de formation initiale.

Le taux d’emploi est le rapport entre le nombre de personnes en emploi et le nombre total de personnes.

L’emploi au sens du Bureau international du travail (BIT) inclut les personnes ayant effectué au moins une heure de travail rémunéré au cours de la semaine de référence ou absentes de leur emploi sous certaines conditions de motif (congés annuels, maladie, maternité, etc.) et de durée. En particulier, les personnes ayant un emploi mais n’ayant pas travaillé pendant la semaine de référence pour cause de congés, de congés maladie de moins d’un an ou de chômage partiel ou technique (quelle que soit la durée) sont considérées comme en emploi.

Le chômage au sens du BIT inclut les personnes âgées de 15 ans ou plus qui sont sans emploi la semaine de référence ; disponibles pour travailler dans les deux semaines à venir ; ont effectué, au cours des quatre dernières semaines, une démarche active de recherche d’emploi ou ont trouvé un emploi qui commence dans les trois mois.

Le halo autour du chômage comprend les personnes sans emploi qui soit ont recherché un emploi, mais ne sont pas disponibles pour travailler, soit n’ont pas recherché d'emploi, mais souhaitent travailler et sont disponibles pour travailler, soit souhaitent travailler, mais n’ont pas recherché d’emploi et ne sont pas disponibles pour travailler.

Un sortant de formation initiale est une personne qui est sortie de formation initiale il y a 1 à 4 ans.

Les diplômés du supérieur long sont les personnes titulaires d’un diplôme de niveau bac + 3 ou plus (licence, master, doctorat, etc.).

Les personnes peu ou pas diplômées sont les personnes titulaires d’un CEP, du brevet des collèges ou qui n'ont aucun diplôme.

Pour en savoir plus

Echegu O., Papagiorgiou H., Pinel L., « Moins à risque face à la Covid-19, les jeunes adultes subissent les contrecoups économiques et sociaux de l’épidémie », in France, portrait social, coll. « Insee Références », édition 2021.

Jauneau Y., Vidalenc J., « En 2020, après un fort recul lors du premier confinement, le nombre d’heures travaillées s’est plus ou moins redressé selon les professions », in France, portrait social, coll. « Insee Références », édition 2021.

« Bilan Formation-Emploi 2021 », Insee Résultats, novembre 2021.

Blaize T., Borel M., Dubost C.-L., Pichavant A.-S., Reist C., « Ouvrir dans un nouvel ongletComment la situation des jeunes sur le marché du travail a-t-elle évolué en 2020 ? », Dares Analyses n° 50, septembre 2021.

Jauneau Y., Vidalenc J., « Une photographie du marché du travail en 2020 – L’emploi résiste, le halo autour du chômage augmente », Insee Première n° 1844, mars 2021.

« Analyse des résultats de l’enquête Emploi – Éclairage sur le marché du travail au 2e trimestre 2020 », Informations Rapides n° 203 (complément), Insee, août 2020.