A deux ans des JO 2024, la sportech française veut prendre son envol Contenu réservé aux abonnés
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L'écosystème tricolore compte un nombre croissant d'acteurs mais peine, jusqu'à présent, à obtenir des financements importants. La locomotive Sorare et la création de fonds spécialisés devraient accélérer la dynamique dans les prochaines années.
Par Adrien Lelièvre
Il y a la vitrine Sorare, dont l'ascension éclair a frappé les esprits . Et une cohorte de jeunes pousses qui rêvent de l'imiter mais peinent, pour l'instant, à décoller faute d'accès à des financements. Le cabinet Roland Berger et le collectif SporTech viennent de dévoiler une étude qui brosse un état des lieux complet des forces et des faiblesses des start-up tricolores évoluant à la croisée des univers du sport et du numérique.
Les auteurs recensent trois typologies de sociétés : celles qui s'intéressent au sport amateur, celles qui s'adressent aux professionnels et celles qui touchent directement les fans (tous sports confondus à chaque fois).
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