Haute fonction publique : les pistes d'une profonde réforme des corps techniques Contenu réservé aux abonnés
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Diversification du recrutement, suppression du classement de sortie, fusion des corps… S'il ne remet pas en cause la suprématie de Polytechnique, le rapport Berger-Guillou-Lavenir qui vient d'être remis à Jean Castex appelle à revoir de fond en comble le recrutement et la gestion des ingénieurs de l'Etat.
Il y a eu le symbole, avec le remplacement de l'ENA par l'Institut national du service public, et la révolution, avec l'élargissement des recrutements et la création du corps unique des administrateurs de l'Etat . Mais il manque encore sa seconde jambe à la réforme de la haute fonction publique voulue par le chef de l'Etat : celle concernant les quatre grands corps techniques recrutés pour une bonne part via l'Ecole polytechnique - ingénieurs des mines, des ponts, eaux et forêts, de l'armement et administrateurs de l'Insee.
Besoins présents et futurs de l'Etat
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