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« Il faut s’interroger sur le choix qui a été fait de multiplier les AESH »

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Selon Alexandre Ployé, chercheur spécialiste de l’inclusion, le rôle des accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) est le tissage du lien humain au quotidien. Mais il ne peut compenser la présence d’enseignants formés à l’approche inclusive, qui demande une véritable transformation de la classe. Un regard nouveau sur l’altérité.
Vous évoquez dans vos travaux un processus d’inclusion inachevé.Pour l’instant, en France le processus inclusif n’a que fort peu transformé les structures mêmes de l’Education nationale. Les gouvernements successifs ont essayé depuis les années 2000 d’amortir la transition vers l’école plus inclusive en recrutant massivement des AESH. On fait donc peser tout le système sur ces professionnelles. Mais, en même temps, on est incapable de les former, elles sont beaucoup trop nombreuses et on n’a pas les moyens de le faire. Elles sont donc cantonnées à des tâches secondaires et on les met en très grande difficulté.Quelle est la place des AESH dans l’école inclusive ?Les AESH répondent à une détresse, à un besoin immédiat. Elles font du bien aux parents et aux enfants dans la relation humaine, le tissage de liens…
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