Les universités veulent avoir « les coudées franches » lors du second quinquennat de Macron Contenu réservé aux abonnés
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Le président réélu dit vouloir aller « au bout » de l'autonomie des universités. Dans un entretien aux « Echos », Manuel Tunon de Lara et Sylvie Retailleau, au nom de l'association des présidents d'université, détaillent leurs attentes : plus d'autonomie, une loi de programmation et 5 à 10 milliards d'euros à investir sur cinq ans.
En janvier, Emmanuel Macron avait déclaré vouloir faire des universités « le centre de gravité » pour la formation et la recherche. Et en mars, il avait dit vouloir « aller au bout » de leur autonomie. Réélu, il est désormais attendu de pied ferme.
Il faut que l'université soit « dans les standards internationaux », réclament, dans un entretien aux « Echos », Manuel Tunon de Lara, président de France Universités - nouveau nom de la CPU -, et Sylvie Retailleau, à la tête de l'université Paris-Saclay. « On est encore dans un pays très centralisé où on vous dit comment vous devez faire pour être autonomes, au lieu de vous faire confiance et de vous demander des comptes après », regrette Manuel Tunon de Lara.
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