L'Inria, au cœur de la réconciliation entre industrie et recherche
L'institut dédié au numérique a fait de la souveraineté le cœur de sa stratégie de développement.
Endiguer la fuite des cerveaux. Retisser des points entre la recherche et l'industrie, entre les scientifiques et les entrepreneurs. Sous la houlette de Bruno Sportisse, l'Inria multiplie les initiatives, au risque de parfois créer quelques tensions au sein de cette institution. Pourtant, les résultats sont là.
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C'est dans ce contexte de rapprochement entre la recherche et l'industrie que l'Inria annonce, à l'occasion de Vivatech, la signature de deux nouveaux accords stratégiques, l'un avec EDF et l'autre avec Framatome. Les sujets abordés par ces partenariats « portent sur le jumeau numérique, l'intelligence artificielle, la cybersécurité, l'Internet des objets. Ils illustrent ce que fait l'Inria avec des industriels français », précise Bruno Sportisse. L'Inria dispose de 230 équipes projets, chacune d'une vingtaine de personnes. À date, une petite dizaine de ces équipes pilotent des projets communs avec de grands noms de l'industrie française, Orange (l'Internet des objets et l'edge…
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