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La bosse des maths et le sens des affaires

L’Albert School est installée dans un immeuble qui, au XXe siècle, abritait le magasin d’une faïencerie. Albert School

L’Albert School ouvrira ses portes en septembre pour former des bacheliers qui aiment les chiffres et l’analyse des données que brassent les entreprises grâce au numérique.

Au 18, rue de Paradis, à Paris, dans le 10e arrondissement, les ouvriers sont à pied d’œuvre dans le fracas du marteau-piqueur et la poussière des travaux. «Nous serons prêts pour la rentrée», assure Grégoire Genest, cofondateur de l’Albert School, qui ouvrira ses portes en septembre avec une première promotion d’une soixantaine d’élèves. Sous le porche et dans la cour, de grandes céramiques décoratives rappellent que ce bâtiment de 2500 m2, érigé en 1900, était, à l’origine, le magasin des Faïenceries de Choisy-le-Roi. Les lieux ont ensuite abrité le Musée de l’affiche et de la publicité, puis le Manoir de Paris, maison hantée pour touristes en quête de frissons. Aujourd’hui, l’Albert School y prend donc ses quartiers.

L’établissement formera, dans la foulée du bac, des têtes bien faites - des matheux - à l’analyse de données pour les entreprises - des data scientists - avec cinq diplômes à la clé: un bachelor (business & data) et quatre masters spécialisés (entrepreneuriat, blockchain…

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