Publicité
Réservé aux abonnés

La haute joaillerie parisienne au firmament

Des créations de Louis Vuitton (à gauche) et Chaumet (à droite). Louis Vuitton

STYLE - Des maisons qui affirment leur style, des ateliers à la virtuosité plus grande chaque saison, des pierres toujours plus éblouissantes, et des clients toujours plus avides de bijoux spectaculaires… La place Vendôme vit un âge d’or.

Chaque joaillier a son système pour signaler qu’une parure intéresse sérieusement un client. Certains collent une gommette près du cartel, comme dans une galerie d’art. D’autres déposent un petit caillou noir, discret, tel un code secret entre vendeurs ; ou encore placent un fin carton avec la mention «Reserved», qui doit inconsciemment attiser l’envie des autres…

Toujours est-il que, dès le début de cette semaine de la haute couture où les joailliers dévoilent leurs collections exclusives, une grande quantité de pièces semblaient déjà vendues, confirmant l’intérêt croissant des clients pour les parures mirifiques. Celles-ci affichent de plus en plus de gemmes exceptionnelles et, par conséquent, leurs prix dépassent régulièrement le million d’euros.

Bijoux de collection

Si les présentations se sont tenues cette semaine à Paris, certaines maisons ont emmené, durant le mois de juin, clients et journalistes dans des lieux inédits en Europe afin de magnifier leurs joyaux. Cartier, fournisseur historique de l’aristocratie…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 90% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

Déjà abonné ? Connectez-vous

La haute joaillerie parisienne au firmament

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner
Aucun commentaire

Il n'y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !

À lire aussi

Mode : l'érotisme à la française fait de la résistance

Mode : l'érotisme à la française fait de la résistance

Les danseuses du Crazy Horse chez Alaïa, l'iconographie de Helmut Newton pour Saint Laurent, la volupté de Toulouse-Lautrec revue par Margiela… Dans une époque de mode verrouillée par le puritanisme américain et des réseaux sociaux, les marques hexagonales jettent le trouble.