En France, l'Etat mise sur sa garantie pour booster les prêts étudiants Contenu réservé aux abonnés
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Si les étudiants français ont moins recours à l'emprunt que leurs homologues britanniques ou américains, cette tendance est néanmoins en hausse, sur fond de choc économique et de hausse des frais de scolarité.
D'une crise à l'autre. A peine sortis de la crise sanitaire, les étudiants doivent désormais composer avec un contexte économique tendu, sur fond de ralentissement de l'activité et d'inflation galopante. Cette dernière n'épargne pas les jeunes : le baromètre annuel de la Fédération des associations générales étudiantes (Fage) précise que le coût de la rentrée devrait augmenter de 7,3 % cette année .
Un contexte qui pousse à la contraction de prêts étudiants. « Le nombre de prêts étudiants contractés auprès de La Banque Postale a augmenté de 6 % en juillet sur un an, pour un montant moyen de 15.000 euros », explique Olivier Morin, spécialiste des produits étudiants au sein de La Banque Postale.
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