Une rentrée scolaire sous haute tension pour Pap Ndiaye
Avec la crise du recrutement des enseignants, les réformes fixées par Emmanuel Macron et les syndicats qui veillent, le ministre de l’Éducation marche sur une ligne de crête.
Première rentrée des classes pour Pap Ndiaye. En mai, l’historien spécialiste des minorités, professeur à Sciences Po, dirigeait encore le Musée de l’histoire de l’immigration. Avant qu’Emmanuel Macron, réélu, ne l’appelle Rue de Grenelle, à la surprise générale. Un intellectuel reconnu par la gauche militante, auteur d’un essai sur la condition noire, pour succéder à un Jean-Michel Blanquer s’étant mis à dos la profession. Tout un symbole.
Juste un symbole? Contrairement à ses prédécesseurs, Pap Ndiaye, 56 ans, n’a ni le profil du politique ni celui du technicien de l’Éducation nationale. «En trois mois, il s’est bien approprié les sujets de l’école, et a commencé à afficher ses lignes à lui, comme sa priorité à la mixité sociale et scolaire», estime Stéphane Crochet, au SE-Unsa. Prise de parole publique réservée, volonté de prendre le temps de la réflexion… «Il présente tous les traits de l’universitaire», résume Stéphane Crochet. «Les collègues ne portent pas de jugement sur sa personnalité…
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Minou 007
le
Sur BFM l'on commente la rentrée des classes avec photos a l'appui, je me suis tout de suite cru en Afrique mais non en France. Que veut dire se "bourrage de crane"
prof1
le
La tension? Quelle tension? Pour les parents d'élèves, oui; mais pas pour lui, car ses enfants sont dans une école privée (Ecole Alsacienne de Paris). Donc, pas de problème!
mamyblues
le
Dans certains lycées il manque des profs , des infirmières etc